40 millions de vaccinés en France
Pixabay/spencerbdavis
Mercredi 18 août 2021, Jean Castex, Premier ministre, l’a annoncé sur Twitter : « 40 millions de Français disposent désormais d’un schéma vaccinal complet ». Cela correspond aux personnes ayant eu toutes les doses de vaccin (une ou deux selon le type) ou encore les personnes guéries de la Covid-19 ayant reçu la dose simple suffisante à garantir l’efficacité des anticorps.
Ce nombre est une bonne nouvelle pour le gouvernement, qui pousse les Français à se faire vacciner, et devrait continuer de croître : en tout, selon les données de Santé Publique France, 46,9 millions de personnes ont reçu, au 18 août 2021, au moins une dose de vaccin. Plus de 6 millions de Français attendent donc la deuxième dose afin de rejoindre les rangs des personnes totalement vaccinées.
Ce nombre est une bonne nouvelle pour le gouvernement, qui pousse les Français à se faire vacciner, et devrait continuer de croître : en tout, selon les données de Santé Publique France, 46,9 millions de personnes ont reçu, au 18 août 2021, au moins une dose de vaccin. Plus de 6 millions de Français attendent donc la deuxième dose afin de rejoindre les rangs des personnes totalement vaccinées.
Une troisième dose ? L’OMS s’insurge, les pays riches s'organisent
Pour la Rentrée 2021, toutefois, l’inquiétude monte au sein des gouvernements : l’efficacité du vaccin baisserait au fil du temps… et les premières injections ont eu lieu au dernier trimestre 2020. Plusieurs pays ont donc annoncé le lancement d’une campagne de rappel vaccinal : la France compte distribuer dès septembre 2021 une troisième dose aux personnes les plus fragiles, les États-Unis visent une troisième dose pour tous.
Une stratégie fortement décriée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) qui s’inquiète de l’accès aux vaccins dans les pays pauvres. En retard sur la vaccination faute d’avoir pu acheter les premières doses produites, les pays pauvres pourraient connaître encore des difficultés à s’approvisionner si les pays riches distribuent de nouvelles doses que l’OMS estime ne pas être nécessaires à ce stade.
Une stratégie fortement décriée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) qui s’inquiète de l’accès aux vaccins dans les pays pauvres. En retard sur la vaccination faute d’avoir pu acheter les premières doses produites, les pays pauvres pourraient connaître encore des difficultés à s’approvisionner si les pays riches distribuent de nouvelles doses que l’OMS estime ne pas être nécessaires à ce stade.