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Orange veut s’imposer sur la 5G. Le groupe s’est positionné autant qu’il le pouvait dès l’ouverture des enchères lancées par l’Etat et son agence spécialisée l’Arcep. « L’Arcep signale qu’il a réclamé cinq blocs de 10 MHz, soit le maximum de ce qu’il était en droit de candidater. SFR arrive en deuxième position, à égalité avec Bouygues Telecom, avec trois blocs. Free Mobile joue les discrets avec seulement deux blocs demandés. Difficile de savoir si ces opérateurs veulent vraiment le nombre de blocs affichés car ils ont chacun mis au point une stratégie 5G. Certains peuvent tenter de faire monter les prix pour que leurs concurrents ne puissent pas suivre. D’autres souhaitent peut-être commencer en sourdine et monter en puissance plus tard » rapporte 01 Net.
Malgré ses ambitions, Orange va devoir composer avec la forte concurrence des autres opérateurs. Car, en cumulé, les ambitions des sociétés dépassent ce qui est proposé par l’Etat français. « Sans surprise, la demande cumulée des quatre gros opérateurs a surpassé l’offre. Plus précisément, on comptabilise trois blocs de trop par rapport aux 11 blocs disponibles. Il faudra donc recommencer la procédure dès demain. Le prix d’un bloc est passé de 70 millions à 85 millions d’euros en une journée au bout de quatre tours avec 5 millions d’euros supplémentaires à chaque fois. Probablement pour limiter la surenchère, l'Arcep annonce dès ce soir que la valeur de l'incrément entre deux tours ne sera que de 3 millions d'euros au cours de la journée de demain. Mais l'enchère reprendra bien à 90 millions d'euros le bloc » poursuit le site spécialisé. La partie ne fait donc que commencer. D’autant que celui qui acquerra le plus de blocs, ne sera pas automatiquement leader dans le domaine. Ce sont les offres commerciales et les capacités techniques qui départageront dans les dix prochaines années les acteurs dominants.
Malgré ses ambitions, Orange va devoir composer avec la forte concurrence des autres opérateurs. Car, en cumulé, les ambitions des sociétés dépassent ce qui est proposé par l’Etat français. « Sans surprise, la demande cumulée des quatre gros opérateurs a surpassé l’offre. Plus précisément, on comptabilise trois blocs de trop par rapport aux 11 blocs disponibles. Il faudra donc recommencer la procédure dès demain. Le prix d’un bloc est passé de 70 millions à 85 millions d’euros en une journée au bout de quatre tours avec 5 millions d’euros supplémentaires à chaque fois. Probablement pour limiter la surenchère, l'Arcep annonce dès ce soir que la valeur de l'incrément entre deux tours ne sera que de 3 millions d'euros au cours de la journée de demain. Mais l'enchère reprendra bien à 90 millions d'euros le bloc » poursuit le site spécialisé. La partie ne fait donc que commencer. D’autant que celui qui acquerra le plus de blocs, ne sera pas automatiquement leader dans le domaine. Ce sont les offres commerciales et les capacités techniques qui départageront dans les dix prochaines années les acteurs dominants.