Trois parures dérobées par deux individus
Pixabay/arembowski
L’enquête ne fait que commencer mais la presse allemande relate déjà une partie des faits : lundi 25 novembre 2019, deux individus se sont introduits aux alentours de 5 heures du matin dans le musée et y auraient dérobé trois parures de diamants datant du XVIIIème siècle. Ils ont profité d’un black-out dans le quartier causé par un feu dans un transformateur à proximité, sans que l’on sache s’ils y ont eux-mêmes mis le feu.
Résultat : l’alarme du musée aurait été hors service tout comme la majorité des caméras de surveillance, rendant l’entrée du musée très simple pour les cambrioleurs. Après être parvenus à entrer dans la chambre forte du musée, ils se sont emparés des bijoux et ont pris la fuite.
Résultat : l’alarme du musée aurait été hors service tout comme la majorité des caméras de surveillance, rendant l’entrée du musée très simple pour les cambrioleurs. Après être parvenus à entrer dans la chambre forte du musée, ils se sont emparés des bijoux et ont pris la fuite.
Un vol à un milliard d’euros ?
Si la directrice du musée, Marion Ackermann, n’a pas donné une estimation chiffrée du préjudice, c’est que les parures de diamants et rubis ont « une valeur inestimable » et font partie du « patrimoine culturel mondial ».
Mais le quotidien allemand Bild aurait sa petite idée : sans présenter ses sources, il dévoile que le préjudice serait d’un milliard d’euros. Une somme qui pourrait faire de ce casse le casse du siècle.
Reste que les voleurs, qui sont activement recherchés, ne pourront pas vendre les bijoux tels quels, étant beaucoup trop connus, d’autant plus au vu de leur valeur. C’est ce qui inquiète le plus les autorités et le musée : que les bijoux soient détruits, refondus et retaillés, ce qui causerait leur perte à jamais.
Mais le quotidien allemand Bild aurait sa petite idée : sans présenter ses sources, il dévoile que le préjudice serait d’un milliard d’euros. Une somme qui pourrait faire de ce casse le casse du siècle.
Reste que les voleurs, qui sont activement recherchés, ne pourront pas vendre les bijoux tels quels, étant beaucoup trop connus, d’autant plus au vu de leur valeur. C’est ce qui inquiète le plus les autorités et le musée : que les bijoux soient détruits, refondus et retaillés, ce qui causerait leur perte à jamais.