cc/flickr/ Felix42 contra la censura
Un document déclassifié intitulé « CONOP 8888 », connu également sous le nom de « Plan pour contrer la domination zombie » a été obtenu par le magazine Foreign Policy. Développé par le Pentagone, ce plan vise à donner les directives de bases en cas d’invasion de zombies, soit le scénario catastrophe préféré d’Hollywood ces dernières années. Peut-être que George A. Romero, directeur du très célèbre film « La nuit des morts-vivants » sorti en 1968, avait finalement vu juste.
Que les plus inquiets se rassurent : le Pentagone n’a pas réellement supposé la possibilité que les morts-vivants existent, que ce soit à cause de magie noire, d’un virus (la thèse la plus plausible) ou d’extra-terrestres. Le capitaine de la marine américaine Pamela Kunze, contactée par le magazine Foreign Policy, est claire sur ce point : il s’agit d’un document d’entrainement basé sur la fiction. En fait, le Pentagone s’est rendu compte qu’une telle menace présentait un avantage majeur dans l’enseignement des techniques et stratégies de base pour les étudiants des divers corps d’armée.
Toutefois, il faut noter que bien qu’étant un document d’entraînement, la mention « Ce plan n’a pas été créé entant que farce » montre bien qu’il pourrait être réellement appliqué si un jour le monde devait faire face à une telle catastrophe biologique.
Quelques détails attirent néanmoins l’attention du lecteur, le document en anglais étant disponible sur internet. Le Pentagone mentionne non seulement diverses origines possibles des zombies : la plus inquiétante est l’attaque de zombie classique des films où les zombies attaquent les humains et les contaminent ; mais il y a également la possibilité de zombies issus d’expérimentations magiques, de zombies « végétariens » qui se nourrissent de plantes et qui ne sont pas un danger pour l’humanité et les « poulets zombies ».
Les « poulets zombies » sont d’ailleurs, selon le Pentagone, une véritable menace : « Même si ça paraît ridicule, c’est aujourd’hui la seule classe de zombies qui existe effectivement » note l’armée dans le document. Ils apparaissent lorsque des poules trop vieilles pour pondre des œufs sont euthanasiées par les fermiers avec du monoxyde de carbone, sont enterrées et réussissent à se frayer un passage dans la terre jusqu’à la surface grâce à leurs griffes.
Que les plus inquiets se rassurent : le Pentagone n’a pas réellement supposé la possibilité que les morts-vivants existent, que ce soit à cause de magie noire, d’un virus (la thèse la plus plausible) ou d’extra-terrestres. Le capitaine de la marine américaine Pamela Kunze, contactée par le magazine Foreign Policy, est claire sur ce point : il s’agit d’un document d’entrainement basé sur la fiction. En fait, le Pentagone s’est rendu compte qu’une telle menace présentait un avantage majeur dans l’enseignement des techniques et stratégies de base pour les étudiants des divers corps d’armée.
Toutefois, il faut noter que bien qu’étant un document d’entraînement, la mention « Ce plan n’a pas été créé entant que farce » montre bien qu’il pourrait être réellement appliqué si un jour le monde devait faire face à une telle catastrophe biologique.
Quelques détails attirent néanmoins l’attention du lecteur, le document en anglais étant disponible sur internet. Le Pentagone mentionne non seulement diverses origines possibles des zombies : la plus inquiétante est l’attaque de zombie classique des films où les zombies attaquent les humains et les contaminent ; mais il y a également la possibilité de zombies issus d’expérimentations magiques, de zombies « végétariens » qui se nourrissent de plantes et qui ne sont pas un danger pour l’humanité et les « poulets zombies ».
Les « poulets zombies » sont d’ailleurs, selon le Pentagone, une véritable menace : « Même si ça paraît ridicule, c’est aujourd’hui la seule classe de zombies qui existe effectivement » note l’armée dans le document. Ils apparaissent lorsque des poules trop vieilles pour pondre des œufs sont euthanasiées par les fermiers avec du monoxyde de carbone, sont enterrées et réussissent à se frayer un passage dans la terre jusqu’à la surface grâce à leurs griffes.