Creative Commons - Pixabay
Le procédé est plus rapide et est sensé être moins stressant. Seize sas de reconnaissance faciale en contrôle de frontière viennent d’être installés à l’aéroport de Nice. Après les deux aéroports principaux de Paris – Orly et Roissy Charles de Gaulle – c’est le troisième dispositif de ce genre qui est installé en France. « Le PDG d'IN Groupe, qui a réalisé ces bornes, Didier Trutt, ajoute que "la technologie de la reconnaissance faciale permet d'aller plus vite que la technologie de l'empreinte digitale, qui était celle utilisée jusqu'à maintenant dans les systèmes de contrôle automatisés en France". En effet, la reconnaissance d'empreinte nécessiterait en moyenne une minute pour deux passagers, alors qu'avec la reconnaissance faciale on ferait passer trois passagers par minute » raconte Capital. Un passage rapide qui remplace la petite halte habituelle devant un policier dans une cabine. « Didier Trutt constate aussi que le système "enlève du stress" aux passagers. Et pour cause, avec la reconnaissance faciale, il n'y a plus de contact entre la machine et la personne. Ce système est d'ailleurs en développement dans plusieurs aéroports dans le monde afin de fluidifier la circulation » ajoute le mensuel économique.
Si pour les passagers l’expérience est simple et sans contraintes particulières, c’est surtout du point de vue de la sécurité que l’évaluation du procédé évaluera de près. Une inquiétude légitime à laquelle les autorités ont largement répondu avant qu’on leur pose en répétant à qui veut l’entendre que c’est une solution « sans aucun compromis sur la sécurité aux frontière ».Se voulant encore plus rassurant, les directions des aéroports ont ajouté que pendant les quelques secondes de scan des passagers, les informations recueillies étaient examinées par une quinzaine de systèmes d’information. Reste que le flair et l’expérience des policiers chargés des contrôle permettaient de déceler stress ou attitude douteuse et procéder à des contrôles supplémentaire.
Si pour les passagers l’expérience est simple et sans contraintes particulières, c’est surtout du point de vue de la sécurité que l’évaluation du procédé évaluera de près. Une inquiétude légitime à laquelle les autorités ont largement répondu avant qu’on leur pose en répétant à qui veut l’entendre que c’est une solution « sans aucun compromis sur la sécurité aux frontière ».Se voulant encore plus rassurant, les directions des aéroports ont ajouté que pendant les quelques secondes de scan des passagers, les informations recueillies étaient examinées par une quinzaine de systèmes d’information. Reste que le flair et l’expérience des policiers chargés des contrôle permettaient de déceler stress ou attitude douteuse et procéder à des contrôles supplémentaire.