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Chaque année, c’est devenu un maronier, on salue la prometteuse représentation de la France lors du Consumer Electronics Show de Las Vegas. Mais il faut le dire, c’est une réalité et un marqueur très encourageant pour évaluer le niveau de la technologie de pointe française. Du 9 au 12 janvier la capitale mondiale des jeux d’argent devient la capitale de la technologie. Sorte de sommet des nouvelles technologies, des délégations du monde entier font le déplacement pour donner une couverture inédite à leurs innovations.
« Avec 365 entreprises, collectivités et organisations, dont 320 start-up et scale-up, la France se positionne comme la troisième délégation, derrière les Etats-Unis et la Chine. Et avec 274 jeunes pousse présentes à l’Eureka Park (le temple des start-up), la France s’impose comme l’an passé (avec 178 start-up exposantes), comme le deuxième contingent le plus important, juste derrière les Etats-Unis et ses 280 start-up. Une évolution remarquable puisqu’en 2015, la France n’exposait que 66 start-up » rapporte l’édition française du magazine Forbes.
« Quatre secteurs sont particulièrement représentés par les jeunes pousses françaises : la maison connectée avec près de 70 exposants, la santé (près de 50), les services aux entreprises (35) et les transports (31). Pour la French Tech, c’est plus largement la « deep tech » qui sort son épingle du jeu : « intelligence artificielle, robotique, internet des objets, biotechnologies, nanotechnologies. » Avec quelques belles réussites, telles que Criteo, Zenly, et Talend pour le secteur des données, ou encore SigFox, Devialet, et Wandercraft pour l’internet des objets » poursuit l’article.
Cependant, note Forbes, l’installation du CES comme l’événement annuel des startups qui innovent pose aussi un problème avec la tentation d’y aller à tout prix pour rejoindre la cour des grands, sans forcément être suffisamment mature pour y aller. « Certaines start-up sont envoyées par des incubateurs, des villes ou des régions soucieux de voir rayonner à l’international leur structure ou leur territoire sans toujours prendre en compte le critère de maturité de la jeune pousse » souligne l’article.
« Avec 365 entreprises, collectivités et organisations, dont 320 start-up et scale-up, la France se positionne comme la troisième délégation, derrière les Etats-Unis et la Chine. Et avec 274 jeunes pousse présentes à l’Eureka Park (le temple des start-up), la France s’impose comme l’an passé (avec 178 start-up exposantes), comme le deuxième contingent le plus important, juste derrière les Etats-Unis et ses 280 start-up. Une évolution remarquable puisqu’en 2015, la France n’exposait que 66 start-up » rapporte l’édition française du magazine Forbes.
« Quatre secteurs sont particulièrement représentés par les jeunes pousses françaises : la maison connectée avec près de 70 exposants, la santé (près de 50), les services aux entreprises (35) et les transports (31). Pour la French Tech, c’est plus largement la « deep tech » qui sort son épingle du jeu : « intelligence artificielle, robotique, internet des objets, biotechnologies, nanotechnologies. » Avec quelques belles réussites, telles que Criteo, Zenly, et Talend pour le secteur des données, ou encore SigFox, Devialet, et Wandercraft pour l’internet des objets » poursuit l’article.
Cependant, note Forbes, l’installation du CES comme l’événement annuel des startups qui innovent pose aussi un problème avec la tentation d’y aller à tout prix pour rejoindre la cour des grands, sans forcément être suffisamment mature pour y aller. « Certaines start-up sont envoyées par des incubateurs, des villes ou des régions soucieux de voir rayonner à l’international leur structure ou leur territoire sans toujours prendre en compte le critère de maturité de la jeune pousse » souligne l’article.