Creative Commons - Pixabay
Un article de Pourquoi Docteur rédigé par un médecin-journaliste met en avant une enquête américaine sur le traitement du cancer du poumon. D’après des chercheurs états-uniens qui ont présenté leur travail au Congrès américain de cancérologie, l’immunothérapie serait plus efficace que la chimiothérapie pour traiter le cancer du poumon avancé. « Chez les patients atteints d'une forme avancée de cancer du poumon non à petites cellules et avec une expression du marqueur PD-L1 sur au moins 1% des cellules de la tumeur, le pembrolizumab (un anticorps monoclonal) en monothérapie améliore la survie de 4 à 8 mois et réduit la fréquence des effets secondaires sévères (grade 3 à 5) par rapport à la chimiothérapie (18% vs 41%) » explique l’article du site spécialisé.
Entrant ensuite dans les détails techniques et scientifiques, Pourquoi Docteur relève que les effets d’un traitement plutôt que l’autre dépend très largement du type de tumeur qui es traité. « Le PD-L1 est un biomarqueur qui est utilisé pour sélectionner les malades susceptibles de répondre aux immunothérapies de type "inhibiteur du checkpoint". En général, les tumeurs qui ont une expression élevée du PD-L1 répondent mieux à ces traitements, mais certaines tumeurs qui ont une expression basse ou nulle peuvent répondre aux anti-PD1/anti-PD-L1 » lit-on ainsi.
Ensuite, du côté des conclusions, l’article préfère être prudent. La chimiothérapie reste le traitement adapté dans de nombreuses situations, d’autant que ses effets évalués restent globalement stables. « Il s’agit donc de la première étude qui démontre la supériorité du pembrolizumab en monothérapie par rapport à une chimiothérapie à base de sels de platine. Est-ce qu’il faut se passer de la chimiothérapie ? Pas forcément, il faudrait d’abord vérifier que l’association immunothérapie + chimiothérapie ne fait pas mieux que l’immunothérapie seule, ce qui n’est pas encore clair » conclue Pourquoi Docteur.
Lire ici en intégralité l’article sur le site Pourquoi Docteur.fr
Entrant ensuite dans les détails techniques et scientifiques, Pourquoi Docteur relève que les effets d’un traitement plutôt que l’autre dépend très largement du type de tumeur qui es traité. « Le PD-L1 est un biomarqueur qui est utilisé pour sélectionner les malades susceptibles de répondre aux immunothérapies de type "inhibiteur du checkpoint". En général, les tumeurs qui ont une expression élevée du PD-L1 répondent mieux à ces traitements, mais certaines tumeurs qui ont une expression basse ou nulle peuvent répondre aux anti-PD1/anti-PD-L1 » lit-on ainsi.
Ensuite, du côté des conclusions, l’article préfère être prudent. La chimiothérapie reste le traitement adapté dans de nombreuses situations, d’autant que ses effets évalués restent globalement stables. « Il s’agit donc de la première étude qui démontre la supériorité du pembrolizumab en monothérapie par rapport à une chimiothérapie à base de sels de platine. Est-ce qu’il faut se passer de la chimiothérapie ? Pas forcément, il faudrait d’abord vérifier que l’association immunothérapie + chimiothérapie ne fait pas mieux que l’immunothérapie seule, ce qui n’est pas encore clair » conclue Pourquoi Docteur.
Lire ici en intégralité l’article sur le site Pourquoi Docteur.fr