Quand Gérald Darmanin cite un sport des antidrogue des années 80
pixabay/futurefilmworks
Interrogé sur LCI le 14 septembre 2020 à propos de la légalisation du cannabis, question qui est de retour sur le devant de la scène après la généralisation de l’amende en France ainsi que la demande du maire LR de Reims pour une expérimentation de la légalisation dans sa commune, Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, n’a pas pris des pincettes : il a tout simplement qualifié le cannabis de « merde ».
Il cite d’ailleurs un spot télévisé des années 1980, alors que la drogue devenait un fléau majeur dans toutes les sociétés industrialisées, en particulier les drogues dures : « 'la drogue, c’est de la m…', disait le spot télé. Eh bien on ne va pas légaliser cette merde ». Il semblerait que son opinion n’ait pas changé depuis, ce que prouve sa politique.
Il cite d’ailleurs un spot télévisé des années 1980, alors que la drogue devenait un fléau majeur dans toutes les sociétés industrialisées, en particulier les drogues dures : « 'la drogue, c’est de la m…', disait le spot télé. Eh bien on ne va pas légaliser cette merde ». Il semblerait que son opinion n’ait pas changé depuis, ce que prouve sa politique.
Un terme qu’il assume à deux reprises
Toujours en réponse au maire de Reims, le ministre a accordé un entretien au journal marnais L’Union, publiée le 13 septembre 2020. Dans cet entretien, il qualifiait déjà le cannabis de « merde » : « je ne peux pas, en tant que ministre de l’Intérieur, en tant qu’homme politique dire à des parents qui se battent pour que leurs enfants sortent de l’addiction à la drogue, que l’on va légaliser cette merde. Et je dis bien ‘cette merde’ ».
Estimant que légaliser le cannabis équivaudrait à « baisser les bras » et que « ce gouvernement ne baisse pas les bras », il donne donc le ton de sa politique contre le cannabis qui sera donc celle du gouvernement pour la fin du quinquennat : pas de légalisation.
Estimant que légaliser le cannabis équivaudrait à « baisser les bras » et que « ce gouvernement ne baisse pas les bras », il donne donc le ton de sa politique contre le cannabis qui sera donc celle du gouvernement pour la fin du quinquennat : pas de légalisation.