Une hausse de plus de trois centimes d’euro le litre
Pixabay/nicolagiordano
Les données publiées lundi 28 février 2022 par le ministère de la Transition écologique et Solidaire, concernant les prix moyens des carburants du vendredi précédent, le 25 février 2022, dévoilent une accélération de la hausse des prix des carburants. Alors que celle-ci, constante, était d’environ un à deux centimes par semaine, la dernière semaine de février 2022 l’augmentation a dépassé les trois centimes d’euro le litre.
Cette nouvelle augmentation des prix fait atteindre à l’essence SP95-E10, le carburant le moins cher hors GPL et bioéthanol, le prix de 1,7997 euro le litre en moyenne en France. La situation à l’Est de l’Europe s’envenimant, la barre des 1,8 euro le litre en moyenne devrait être franchie dès la première semaine du mois de mars 2022.
Cette nouvelle augmentation des prix fait atteindre à l’essence SP95-E10, le carburant le moins cher hors GPL et bioéthanol, le prix de 1,7997 euro le litre en moyenne en France. La situation à l’Est de l’Europe s’envenimant, la barre des 1,8 euro le litre en moyenne devrait être franchie dès la première semaine du mois de mars 2022.
Plus de 13 centimes d’euro de hausse depuis deux mois
La situation est similaire pour le gazole qui connaît une augmentation de prix sur une semaine de 3,6 centimes d’euro, portant le prix moyen en France à 1,7415 euro le litre. Pour les deux carburants, l’augmentation de prix depuis le début de l’année a désormais franchi la barre des 13 centimes d’euro, faisant fortement augmenter le prix du plein pour les automobilistes.
Une situation compliquée, surtout pour le budget des ménages, qui ne va pas s’améliorer rapidement : la guerre en Ukraine a conduit l’occident à prendre des sanctions inédites envers la Russie, ce qui pourrait se traduire par des mesures de rétorsion. La Russie reste en effet le deuxième pays producteur de pétrole au monde.
Une situation compliquée, surtout pour le budget des ménages, qui ne va pas s’améliorer rapidement : la guerre en Ukraine a conduit l’occident à prendre des sanctions inédites envers la Russie, ce qui pourrait se traduire par des mesures de rétorsion. La Russie reste en effet le deuxième pays producteur de pétrole au monde.