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« Je réclame mes droits à la retraite ainsi qu’à tous les droits qui me sont acquis » a prévenu Carlos Ghosn dans les colonnes du Figaro. L’ancien patron du constructeur français et de son allié japonais Nissan continue les déclarations choc depuis le Liban. Multipliant les interviews avec tous les médias, l’homme d’affaires montre jour après jour qu’il ne négligera aucun front dans sa lutte acharnée pour laver son nom. Sans encore avoir donné suffisamment d’explications sur les éléments factuels, il a en tout cas lancé un nouveau combat et cette fois contre Renault.
« J’ai d’abord voulu que cela se règle de façon amiable. Chacun connaît les conditions dans lesquelles j’ai dû quitter Renault : j’étais emprisonné ! Mais, que je sache, il existe un droit en France, il existe une justice. La façon dont tout cela s’est déroulé à ce moment-là sera connue » assure Ghosn. Au fondement de la demande de l’ancien patron, il y a la lettre qu’il a envoyé au conseil d’administration du fabricant de voitures. Datée du 23 janvier 2019, il y expliquait - d’après lui – qu’il était empêché de continuer sa mission et disait ainsi qu’il mettait « un terme à (s)es mandats ».
« Lors de sa conférence de presse qu’il a tenu à Beyrouth mercredi dernier, il a toutefois réfuté avoir démissionné de son poste contrairement à ce qu’avait annoncé le conseil d’administration de l’entreprise le 24 janvier : "Ma lettre n’a pas été distribuée aux membres du conseil d’administration, elle a été lue. C’est une forfaiture de dire que j’ai démissionné", avait-t-il assuré » rappelle BFMTV . Il réclamerait donc près de 250 000 euros d’indemnité de départ en retraite pour un dossier vraisemblablement traité en février. Un volet de plus dans une saga Ghosn qui ne cesse de faire des petits.
« J’ai d’abord voulu que cela se règle de façon amiable. Chacun connaît les conditions dans lesquelles j’ai dû quitter Renault : j’étais emprisonné ! Mais, que je sache, il existe un droit en France, il existe une justice. La façon dont tout cela s’est déroulé à ce moment-là sera connue » assure Ghosn. Au fondement de la demande de l’ancien patron, il y a la lettre qu’il a envoyé au conseil d’administration du fabricant de voitures. Datée du 23 janvier 2019, il y expliquait - d’après lui – qu’il était empêché de continuer sa mission et disait ainsi qu’il mettait « un terme à (s)es mandats ».
« Lors de sa conférence de presse qu’il a tenu à Beyrouth mercredi dernier, il a toutefois réfuté avoir démissionné de son poste contrairement à ce qu’avait annoncé le conseil d’administration de l’entreprise le 24 janvier : "Ma lettre n’a pas été distribuée aux membres du conseil d’administration, elle a été lue. C’est une forfaiture de dire que j’ai démissionné", avait-t-il assuré » rappelle BFMTV . Il réclamerait donc près de 250 000 euros d’indemnité de départ en retraite pour un dossier vraisemblablement traité en février. Un volet de plus dans une saga Ghosn qui ne cesse de faire des petits.