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Renault est fier des résultats de la marque Dacia. Au point d’en faire une vitrine. « Plus de un millier de concessionnaires, de partenaires et de journalistes étaient invités à découvrir le site de production de la filiale de Renault. Détendu et souriant, Denis Le Vot, le patron de la marque, accueillait en personne les visiteurs, dont Le Monde, pour cette opération de communication bien rodée », raconte le quotidien dans un reportage agrémenté d’informations complètes sur la marque, son histoire et les enjeux actuels.
Au travers de ce reportage, l’article montre bien les risques pris par une marque qui a atteint les sommets grâce à son offre low cost mais qui désormais veut monter en gamme. Tout en notant toujours cette philosophie de limitation des couts par rapport à la concurrence. Main d’œuvre roumaine moins onéreuse et moins de robotisation alliés à des véhicules conçus pour être peu chers : «Pas d’électronique superflue, le minimum nécessaire d’aide à la conduite, un support pour connecter son portable et se laisser guider par son téléphone plutôt que des écrans, peu de modèles et d’options, pas de paillettes dans les peintures et enfin, plus de chrome, « un coût inutile et pas formidable pour l’environnement » : le nouveau logo Dacia se décline donc en blanc. Le troisième pilier, c’est « pas de remise ». Le prix affiché sur Internet et dans la concession est le prix final, le même pour tout le monde. « La conséquence, c’est que nous vendons très peu aux loueurs, qui réclament des prix en échange du volume », explique le directeur général. La vertu, c’est qu’on ne retrouve pas trois ou quatre ans plus tard ces voitures quasi neuves sur le marché de l’occasion. »
Depuis le début de l’année Dacia a confirmé sa bonne santé en plaçant plusieurs véhicules dans le classement des plus vendues en Europe. Et même en première position des véhiclues vendus aux particuliers pour la Sandero.
Lire en intégralité le reportage du « Monde » sur le site industriel de Dacia
Au travers de ce reportage, l’article montre bien les risques pris par une marque qui a atteint les sommets grâce à son offre low cost mais qui désormais veut monter en gamme. Tout en notant toujours cette philosophie de limitation des couts par rapport à la concurrence. Main d’œuvre roumaine moins onéreuse et moins de robotisation alliés à des véhicules conçus pour être peu chers : «Pas d’électronique superflue, le minimum nécessaire d’aide à la conduite, un support pour connecter son portable et se laisser guider par son téléphone plutôt que des écrans, peu de modèles et d’options, pas de paillettes dans les peintures et enfin, plus de chrome, « un coût inutile et pas formidable pour l’environnement » : le nouveau logo Dacia se décline donc en blanc. Le troisième pilier, c’est « pas de remise ». Le prix affiché sur Internet et dans la concession est le prix final, le même pour tout le monde. « La conséquence, c’est que nous vendons très peu aux loueurs, qui réclament des prix en échange du volume », explique le directeur général. La vertu, c’est qu’on ne retrouve pas trois ou quatre ans plus tard ces voitures quasi neuves sur le marché de l’occasion. »
Depuis le début de l’année Dacia a confirmé sa bonne santé en plaçant plusieurs véhicules dans le classement des plus vendues en Europe. Et même en première position des véhiclues vendus aux particuliers pour la Sandero.
Lire en intégralité le reportage du « Monde » sur le site industriel de Dacia