« Pour lui, il est temps que Dacia s'épanouisse. Et ce nouveau départ est symbolisé par une toute nouvelle identité visuelle, avec un logo inédit, qui fait table rase du passé. On oublie ainsi la forme de bouclier des précédents logos, place à un « D » et un « C » stylisés, associés selon un jeu de miroir, pour former un symbole qui évoque un chromosome. La police d'écriture du monogramme adopte aussi un aspect très anguleux. Voilà un virage de l'identité surprenant, car ces angles donnent un côté bien "rigide" à Dacia alors que Luca de Meo veut donner un côté cool à Dacia. La marque va continuer à proposer "des produits abordables, basés sur des technologies éprouvées et destinés aux acheteurs cherchant l’achat malin". Elle fonctionnera en duo avec Lada » analyse Caradisiac.
Le créneau du véhicule pas cher adossé à un groupe mondial va être poussé encore un peu plus loin. « Pour toujours plus améliorer la rentabilité de la firme, tous les modèles seront basés sur une unique plate-forme, la CMF-B. Après la refonte complète des Logan et Sandero, trois nouveaux modèles seront lancés d'ici 2025, deux pour le segment B et un sur le segment C. L'arrivée de la technologie hybride E-Tech chez Dacia a été confirmée » continue le site spécialisé. Dans le secteur automobile encore plus qu’ailleurs, l’essentiel est de trouver un public et de se différencier de la concurrence. Sur ces deux aspects, le bon positionnement de Dacia est effectivement un atout.
Dacia, le bijou de rentabilité du Groupe Renault opère sa mue
Journaliste pour VA Press. En savoir plus sur cet auteur
14 Janvier 2021
Dans le cadre de la stratégie de reprise du groupe Renault, le nouveau patron Luca de Meo compte beaucoup sur la place de Dacia. Un nouveau départ a été annoncé pour la maquer roumaine avec d’abord une reprise de l’identité et de l’esthétique de la marque.
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Luca de Meo ne cache pas depuis son arrivée son enthousiasme pour la rentabilité de Dacia. La marque low-cost du groupe Renault a trouvé une logique commerciale et marketing qui fait son succès. Une réussite que le nouveau patron du groupe avait qualifiée de « miracle ».