La guerre odieuse en Ukraine mobilise depuis près de deux semaines l’attention et la sympathie de l’ensemble du monde pour le peuple ukrainien.
Les pratiques abjectes de Vladimir Poutine ne font que renforcer la cohésion des instances internationales notamment à travers la livraison d’armes, de médicaments et de nourriture au peuple assiégé, qui démontre une faculté incroyable de résistance, induisant plus que du respect.
Les mesures de rétorsion économiques prises par les Occidentaux à l’encontre de la Russie commencent, semble-t-il, à porter leurs fruits, mais vont avoir des effets à plus long terme sur toutes les économies.
Dans ce contexte plus que perturbé, la campagne électorale qui est lancée en France depuis plusieurs mois ne peut se dérouler que de façon chaotique, au gré des évènements, avec un Emmanuel Macron maintenant candidat, mais qui va devoir mener de front sa propre campagne et son action de Président de la République et de l’Union Européenne, mais aussi avec des candidats qui ne peuvent que réagir face à cette guerre, soit en tentant d’effacer leur avis passé positif sur Vladimir Poutine, soit en essayant d’établir une crédibilité en tant que futur Président de la République qui sera avant tout, dans les prochains mois, le chef des armées et un acteur important dans la gestion de cette crise majeure pour éviter une troisième guerre mondiale.
Ainsi donc, les programmes de tous les candidats ne peuvent que s’exprimer à « bas bruit », et cela est fort dommage.
En examinant, ce que de nombreux candidats ont exprimé dans les semaines ayant précédé la guerre en Ukraine, une grande majorité d’entre eux ont souhaité intégrer une forme de Revenu Universel dans leur programme social.
C’est le cas de candidats tels qu’Emmanuel Macron, Valérie Pécresse, Jean Luc Mélenchon, Yannick Jadot, Fabien Roussel, Anne Hidalgo ou encore Philippe Poutou.
Les formes proposées sont diverses en passant par un revenu ciblé uniquement sur les jeunes, non bénéficiaires du RSA, mais aussi ciblé sur les plus démunis en complément aux aides actuelles, ou encore généralisé à partir de 18 ans.
De son côté Emmanuel Macron a annoncé que son programme comprendrait les mesures qu’il n’a pas pu mettre en place lors de son premier mandat et en particulier le Revenu Universel d’Activité dont le contour semble avoir évolué depuis son annonce en 2018.
Il semble cependant légitime de se poser la question de la pertinence de ces idées dans le contexte guerrier actuel, et dans le cadre des difficultés économiques qui commencent à nous frapper (inflation, finances de l’État, nouvelles difficultés financières des entreprises).
En examinant les manières de financer ces idées, nous constatons que les moyens financiers nécessaires ne peuvent s’obtenir que par des économies importantes dans le budget de l’État, ou encore par une imposition renforcée.
Les pratiques abjectes de Vladimir Poutine ne font que renforcer la cohésion des instances internationales notamment à travers la livraison d’armes, de médicaments et de nourriture au peuple assiégé, qui démontre une faculté incroyable de résistance, induisant plus que du respect.
Les mesures de rétorsion économiques prises par les Occidentaux à l’encontre de la Russie commencent, semble-t-il, à porter leurs fruits, mais vont avoir des effets à plus long terme sur toutes les économies.
Dans ce contexte plus que perturbé, la campagne électorale qui est lancée en France depuis plusieurs mois ne peut se dérouler que de façon chaotique, au gré des évènements, avec un Emmanuel Macron maintenant candidat, mais qui va devoir mener de front sa propre campagne et son action de Président de la République et de l’Union Européenne, mais aussi avec des candidats qui ne peuvent que réagir face à cette guerre, soit en tentant d’effacer leur avis passé positif sur Vladimir Poutine, soit en essayant d’établir une crédibilité en tant que futur Président de la République qui sera avant tout, dans les prochains mois, le chef des armées et un acteur important dans la gestion de cette crise majeure pour éviter une troisième guerre mondiale.
Ainsi donc, les programmes de tous les candidats ne peuvent que s’exprimer à « bas bruit », et cela est fort dommage.
En examinant, ce que de nombreux candidats ont exprimé dans les semaines ayant précédé la guerre en Ukraine, une grande majorité d’entre eux ont souhaité intégrer une forme de Revenu Universel dans leur programme social.
C’est le cas de candidats tels qu’Emmanuel Macron, Valérie Pécresse, Jean Luc Mélenchon, Yannick Jadot, Fabien Roussel, Anne Hidalgo ou encore Philippe Poutou.
Les formes proposées sont diverses en passant par un revenu ciblé uniquement sur les jeunes, non bénéficiaires du RSA, mais aussi ciblé sur les plus démunis en complément aux aides actuelles, ou encore généralisé à partir de 18 ans.
De son côté Emmanuel Macron a annoncé que son programme comprendrait les mesures qu’il n’a pas pu mettre en place lors de son premier mandat et en particulier le Revenu Universel d’Activité dont le contour semble avoir évolué depuis son annonce en 2018.
Il semble cependant légitime de se poser la question de la pertinence de ces idées dans le contexte guerrier actuel, et dans le cadre des difficultés économiques qui commencent à nous frapper (inflation, finances de l’État, nouvelles difficultés financières des entreprises).
En examinant les manières de financer ces idées, nous constatons que les moyens financiers nécessaires ne peuvent s’obtenir que par des économies importantes dans le budget de l’État, ou encore par une imposition renforcée.
Alors faut-il abandonner l’idée ? La réponse est : certainement pas !!!
En effet, le choc de la pandémie cumulé maintenant à celui de la guerre en Ukraine change drastiquement les équilibres sur lesquels nous avons assis par le passé notre modèle socioéconomique et financier, mais aussi notre relation au « nouveau monde qui s’ouvre devant nous ».
C’est au lendemain des guerres ou des chocs brutaux que nous devons nous réinventer, et le Revenu Universel peut être un levier formidable pour ce faire.
L’essai « Manuel Pratique du Revenu Universel – Vous avez tous à y gagner » publié en septembre dernier apporte les réponses attendues à ces nouveaux défis.
Il fait de celui-ci, non seulement une protection aux Français majeurs pour affronter les affres de la vie, mais surtout devient un vecteur financier permettant aux entreprises et aux employeurs du secteur public de réduire sensiblement le coût de leur masse salariale.
Cette approche totalement différente du Revenu Universel permettrait d’une part aux entreprises de surmonter leurs difficultés du fait d’un coût de l’énergie maintenant prohibitif, par une amélioration sensible de leurs marges nettes, mais aussi à l’État en particulier d’avoir des marges de manœuvre importantes pour financer des investissements militaires dont nous avons besoin pour être crédibles dans cette crise.
Bien évidemment, une telle forme de Revenu Universel n’existe pas actuellement et mettrait au minimum 3 ans pour se concrétiser. Mais avec une telle perspective, la mise en œuvre immédiate de moyens financiers de la part du gouvernement serait possible, car les sommes engagées par de l’endettement de l’ordre de plusieurs dizaines de milliards pourraient ensuite être remboursées.
Alors il faut annoncer la couleur maintenant pour la prochaine mandature présidentielle.
C’est une véritable urgence !
C’est au lendemain des guerres ou des chocs brutaux que nous devons nous réinventer, et le Revenu Universel peut être un levier formidable pour ce faire.
L’essai « Manuel Pratique du Revenu Universel – Vous avez tous à y gagner » publié en septembre dernier apporte les réponses attendues à ces nouveaux défis.
Il fait de celui-ci, non seulement une protection aux Français majeurs pour affronter les affres de la vie, mais surtout devient un vecteur financier permettant aux entreprises et aux employeurs du secteur public de réduire sensiblement le coût de leur masse salariale.
Cette approche totalement différente du Revenu Universel permettrait d’une part aux entreprises de surmonter leurs difficultés du fait d’un coût de l’énergie maintenant prohibitif, par une amélioration sensible de leurs marges nettes, mais aussi à l’État en particulier d’avoir des marges de manœuvre importantes pour financer des investissements militaires dont nous avons besoin pour être crédibles dans cette crise.
Bien évidemment, une telle forme de Revenu Universel n’existe pas actuellement et mettrait au minimum 3 ans pour se concrétiser. Mais avec une telle perspective, la mise en œuvre immédiate de moyens financiers de la part du gouvernement serait possible, car les sommes engagées par de l’endettement de l’ordre de plusieurs dizaines de milliards pourraient ensuite être remboursées.
Alors il faut annoncer la couleur maintenant pour la prochaine mandature présidentielle.
C’est une véritable urgence !