Creative Commons Pixabay
"La crise du COVID-19 devrait faire disparaître 6,7 pour cent des heures de travail dans le monde au cours du deuxième trimestre de 2020 - soit 195 millions d'équivalents temps plein", explique dans un communiqué l'Organisation mondiale du travail (OIT), qui ajoute que "de fortes réductions sont prévues dans les Etats arabes (8,1 pour cent, soit 5 millions d'équivalents temps plein), en Europe (7,8 pour cent, soit 12 millions d'équivalents temps plein) et en Asie et Pacifique (7,2 pour cent, soit 125 millions d'équivalents temps plein)".
De "lourdes pertes sont attendues dans les pays appartenant à divers groupes de revenus mais surtout dans les pays à revenu intermédiaire supérieur (7,0 pour cent, soit 100 millions d'équivalents temps plein)", ajoute l'OIT, qui précise que cela dépasse largement les "effets de la crise financière de 2008-09".
Les secteurs les plus à risque sont "les services d'hôtellerie et de restauration, l'industrie manufacturière, le commerce de détail et les activités commerciales et administratives", assure l'OIT dans son communiqué, qui souligne que "la hausse finale du chômage mondial pour l'année 2020 dépendra pour beaucoup de l'évolution de la situation et des mesures adoptées."
Ainsi, il est fort probable "que les chiffres de fin d'année soient nettement plus élevés que la projection initiale de l'OIT qui était de 25 millions".
Guy Ryder, le Directeur général de l'OIT, assure : "les travailleurs et les entreprises traversent une catastrophe, aussi bien dans les économies développées que dans les économies en développement... Nous devons agir vite, ensemble et avec détermination. De bonnes mesures d'urgence peuvent faire la différence entre survie et effondrement.»
Car dans la population active mondiale de 3,3 milliards de personnes, "plus de quatre personnes sur cinq (81 pour cent) sont actuellement affectées par la fermeture totale ou partielle des lieux de travail".
«Les travailleurs et les entreprises traversent une catastrophe, aussi bien dans les économies développées que dans les économies en développement», ajoute Guy Ryder. «Nous devons agir vite, ensemble et avec détermination. De bonnes mesures d'urgence peuvent faire la différence entre survie et effondrement.»
De "lourdes pertes sont attendues dans les pays appartenant à divers groupes de revenus mais surtout dans les pays à revenu intermédiaire supérieur (7,0 pour cent, soit 100 millions d'équivalents temps plein)", ajoute l'OIT, qui précise que cela dépasse largement les "effets de la crise financière de 2008-09".
Les secteurs les plus à risque sont "les services d'hôtellerie et de restauration, l'industrie manufacturière, le commerce de détail et les activités commerciales et administratives", assure l'OIT dans son communiqué, qui souligne que "la hausse finale du chômage mondial pour l'année 2020 dépendra pour beaucoup de l'évolution de la situation et des mesures adoptées."
Ainsi, il est fort probable "que les chiffres de fin d'année soient nettement plus élevés que la projection initiale de l'OIT qui était de 25 millions".
Guy Ryder, le Directeur général de l'OIT, assure : "les travailleurs et les entreprises traversent une catastrophe, aussi bien dans les économies développées que dans les économies en développement... Nous devons agir vite, ensemble et avec détermination. De bonnes mesures d'urgence peuvent faire la différence entre survie et effondrement.»
Car dans la population active mondiale de 3,3 milliards de personnes, "plus de quatre personnes sur cinq (81 pour cent) sont actuellement affectées par la fermeture totale ou partielle des lieux de travail".
«Les travailleurs et les entreprises traversent une catastrophe, aussi bien dans les économies développées que dans les économies en développement», ajoute Guy Ryder. «Nous devons agir vite, ensemble et avec détermination. De bonnes mesures d'urgence peuvent faire la différence entre survie et effondrement.»