Les métiers les plus demandés en 2023
Les intentions d'embauche pour 2023 s'élèvent à 3 millions, soit une légère baisse de 0,2% par rapport à 2022, selon les données publiées par Pôle Emploi le 11 avril 2023. Parmi elles, 72% concernent des emplois durables, tels que les CDI et contrats de 6 mois ou plus. Les services dominent avec 62% des projets de recrutement, en hausse de 1,5% par rapport à l'année précédente.
Parmi les métiers les plus recherchés, on retrouve en tête les serveurs de cafés et restaurants, suivis de près par les viticulteurs, arboriculteurs salariés et cueilleurs. Les aides, apprentis et employés polyvalents de cuisine occupent la troisième place, tandis que les agents d'entretien de locaux, y compris les ATSEM, arrivent en quatrième position. Les agriculteurs salariés et ouvriers agricoles se classent cinquièmes, et les aides à domicile et aides ménagères sont également très demandés.
D'autres professions telles que les aides-soignants, les professionnels de l'animation socioculturelle, les ouvriers non qualifiés de l'emballage et manutentionnaires, et les cuisiniers complètent ce classement des métiers les plus recherchés en 2023.
Parmi les métiers les plus recherchés, on retrouve en tête les serveurs de cafés et restaurants, suivis de près par les viticulteurs, arboriculteurs salariés et cueilleurs. Les aides, apprentis et employés polyvalents de cuisine occupent la troisième place, tandis que les agents d'entretien de locaux, y compris les ATSEM, arrivent en quatrième position. Les agriculteurs salariés et ouvriers agricoles se classent cinquièmes, et les aides à domicile et aides ménagères sont également très demandés.
D'autres professions telles que les aides-soignants, les professionnels de l'animation socioculturelle, les ouvriers non qualifiés de l'emballage et manutentionnaires, et les cuisiniers complètent ce classement des métiers les plus recherchés en 2023.
Difficultés de recrutement et métiers concernés
Les difficultés de recrutement atteignent un niveau record en 2023, avec 61% des recrutements jugés difficiles, soit une augmentation de 20 points depuis 2013.
Les métiers les plus concernés par ces difficultés sont les couvreurs et couvreurs zingueurs qualifiés, qui arrivent en première position. Les pharmaciens sont également très touchés par ces problèmes de recrutement, tout comme les aides à domicile et aides ménagères. Les chaudronniers, tôliers, traceurs, serruriers, métalliers et forgerons qualifiés sont eux aussi en proie à des difficultés de recrutement, au même titre que les carrossiers automobiles et les techniciens médicaux et préparateurs.
Les plombiers et chauffagistes ouvriers qualifiés rencontrent également des obstacles pour recruter, tout comme les spécialistes de l'appareillage médical et les conducteurs de transport en commun sur route. Enfin, les ouvriers qualifiés travaillant par enlèvement de métal sont également confrontés à des défis en matière de recrutement.
Les motifs des difficultés incluent un nombre insuffisant de candidats pour 85% des recruteurs, un profil inadéquat des postulants pour 79% d'entre eux, et des conditions de travail peu attrayantes pour 37% des employeurs.
Les métiers les plus concernés par ces difficultés sont les couvreurs et couvreurs zingueurs qualifiés, qui arrivent en première position. Les pharmaciens sont également très touchés par ces problèmes de recrutement, tout comme les aides à domicile et aides ménagères. Les chaudronniers, tôliers, traceurs, serruriers, métalliers et forgerons qualifiés sont eux aussi en proie à des difficultés de recrutement, au même titre que les carrossiers automobiles et les techniciens médicaux et préparateurs.
Les plombiers et chauffagistes ouvriers qualifiés rencontrent également des obstacles pour recruter, tout comme les spécialistes de l'appareillage médical et les conducteurs de transport en commun sur route. Enfin, les ouvriers qualifiés travaillant par enlèvement de métal sont également confrontés à des défis en matière de recrutement.
Les motifs des difficultés incluent un nombre insuffisant de candidats pour 85% des recruteurs, un profil inadéquat des postulants pour 79% d'entre eux, et des conditions de travail peu attrayantes pour 37% des employeurs.