DR
Saltos arrière, franchissements d’obstacles ou courses, les robots de Boston Dynamics sont de plus en plus agiles. De vidéo en vidéo, la compagnie américaine montre que les progrès sont fulgurants. « Boston Dynamics nous gratifie d'une vidéo mettant en scène son robot humanoïde Atlas alors qu'il accomplit de nouvelles prouesses. Cette fois-ci, Atlas est sur un « parkour », où il enchaîne en courant le franchissement d'une série d'obstacles. Avec une agilité tout à fait impressionnante, le robot saute par-dessus un tronc d'arbre puis gravit une série de podiums, le tout sans marquer de temps d'arrêt » raconte Futura Sciences.
Sans que l’on en sache plus sur les points sur lesquels la compagnie a travaillé ou les brevets et technologies qui ont été mis au point pour réussir ces prouesses, la société confirme son statut de pionnier dans le domaine. Le site spécialisé sur les questions de technologie et scientifiques Futura Science, relève tout de même qu’un logiciel contrôle l’ensemble du corps pour instiguer des mouvements. « La vision par ordinateur joue également un rôle pour aider le robot à se positionner à l'approche des obstacles. L'action vue au ralenti permet de constater à quel point la décomposition des mouvements et leur fluidité sont très proches de celles d'un humain. Que de progrès accomplis depuis la première version d’Atlas apparue en 2013 ! À l'époque, le robot conçu initialement pour la Darpa avait une démarche pour le moins pataude et il était relié par un câble à une source d'alimentation externe. Au rythme où il évolue, on peut imaginer ou craindre, c'est selon, qu'Atlas n'ait plus grand-chose à envier aux humains, en mobilité et en dextérité... » conclue le magazine.
Sans que l’on en sache plus sur les points sur lesquels la compagnie a travaillé ou les brevets et technologies qui ont été mis au point pour réussir ces prouesses, la société confirme son statut de pionnier dans le domaine. Le site spécialisé sur les questions de technologie et scientifiques Futura Science, relève tout de même qu’un logiciel contrôle l’ensemble du corps pour instiguer des mouvements. « La vision par ordinateur joue également un rôle pour aider le robot à se positionner à l'approche des obstacles. L'action vue au ralenti permet de constater à quel point la décomposition des mouvements et leur fluidité sont très proches de celles d'un humain. Que de progrès accomplis depuis la première version d’Atlas apparue en 2013 ! À l'époque, le robot conçu initialement pour la Darpa avait une démarche pour le moins pataude et il était relié par un câble à une source d'alimentation externe. Au rythme où il évolue, on peut imaginer ou craindre, c'est selon, qu'Atlas n'ait plus grand-chose à envier aux humains, en mobilité et en dextérité... » conclue le magazine.