Une Google Car
Google Cars, ce sont les voitures autonomes créées par Google. Si un humain prend place à l’intérieur, c’est un pilote automatique qui la conduit. Après le Nevada en janvier dernier, dès la rentrée de septembre, elles pourront légalement sillonner les routes californiennes. Le Department of Motor Vehicles de l’État, l’organisme chargé de l’enregistrement des véhicules et des permis de conduire, a en effet donné son aval. Dans le même temps, le gouverneur de Californie, vient de signer un décret, les autorisant à rouler en toute liberté, à partir du 16 septembre prochain.
Si elles ont désormais le droit de prendre la route, aucune contrainte n’interdit plus la circulation des véhicules autonomes, en revanche, certaines conditions doivent être respectées. Et autant dire que ces exigences sont strictes : pour le moment, seuls les employés ou des personnes désignées par la société de Mountain View, appelée le Googleplex, le complexe Google, seront autorisés à prendre le volant. Surtout, ils devront être titulaires, d’un permis de voiture depuis au moins trois ans, et faire preuve d'un parcours sans accroc : ne jamais avoir été responsables d’un accident, ne pas avoir été arrêtés pour conduite en état d’ivresse ou sous l’emprise de stupéfiants.
À partir du 16 septembre, si les Google Cars seront autorisées sur les routes californiennes, il est demandé au conducteur, même si la voiture est autonome, d’avoir suivi un cours de conduite dédiée. Il faut qu’à tout moment, il puisse reprendre le contrôle de son véhicule. De plus, il est obligatoire que la personne embarquée dans la Google Car, ait compris le fonctionnement et la technologie inhérents à ces véhicules automatiques. On ne sait jamais...
Last but not least, avant une possible mise sur le marché en 2017, les Google Cars devront être assurées avec une franchise de… 5 millions de dollars. Tout cela, à la charge du constructeur. Le montant élevé de la franchise pourrait représenter un frein. À la fois, c'est Google qui paye, et le pilote automatique est sensé mener la voiture à bon port. Autre chose, si on est jamais aussi bien servi que par soi-même, fera t-on confiance au pilote robotique ? Google affirme qu’il est plus fiable qu’un humain...
Si elles ont désormais le droit de prendre la route, aucune contrainte n’interdit plus la circulation des véhicules autonomes, en revanche, certaines conditions doivent être respectées. Et autant dire que ces exigences sont strictes : pour le moment, seuls les employés ou des personnes désignées par la société de Mountain View, appelée le Googleplex, le complexe Google, seront autorisés à prendre le volant. Surtout, ils devront être titulaires, d’un permis de voiture depuis au moins trois ans, et faire preuve d'un parcours sans accroc : ne jamais avoir été responsables d’un accident, ne pas avoir été arrêtés pour conduite en état d’ivresse ou sous l’emprise de stupéfiants.
À partir du 16 septembre, si les Google Cars seront autorisées sur les routes californiennes, il est demandé au conducteur, même si la voiture est autonome, d’avoir suivi un cours de conduite dédiée. Il faut qu’à tout moment, il puisse reprendre le contrôle de son véhicule. De plus, il est obligatoire que la personne embarquée dans la Google Car, ait compris le fonctionnement et la technologie inhérents à ces véhicules automatiques. On ne sait jamais...
Last but not least, avant une possible mise sur le marché en 2017, les Google Cars devront être assurées avec une franchise de… 5 millions de dollars. Tout cela, à la charge du constructeur. Le montant élevé de la franchise pourrait représenter un frein. À la fois, c'est Google qui paye, et le pilote automatique est sensé mener la voiture à bon port. Autre chose, si on est jamais aussi bien servi que par soi-même, fera t-on confiance au pilote robotique ? Google affirme qu’il est plus fiable qu’un humain...