Il est question ici de dress code au bureau. Si dans certains cas, les règles sont aléatoires, dans d’autres, les exigences des entreprises en la matière, sont extrêmement claires. Dans tous les cas, il s’agit de « faire preuve de bon sens dans le choix de sa tenue vestimentaire pour aller travailler », explique à La Tribune, Xavier Malartre, consultant manager chez CCLD Recrutement. Pourquoi ? Parce que les vêtements que l’on porte, quoi que l’on pense, envoient forcément des messages.
Exemple : « Si l'on se démarque trop du code de l'entreprise, on peut envoyer des messages négatifs. Passer pour quelqu'un qui ne comprend pas dans quel contexte il évolue est le premier risque », explique Xavier Malartre à La Tribune. Autrement dit, respecter les codes, c’est respecter la culture de l’entreprise, avoir saisi l’environnement dans lequel on progresse. C'est déjà énorme. Et bien vu.
Même point de vue pour Anne Guérand, attachée temporaire d'enseignement et de recherche en ressources humaines, à l’IAE Lyon 3 : « Choisir de ne pas adhérer est généralement perçu comme une volonté de déconnexion du groupe mais lorsqu'on respecte le code de son entreprise, on montre son envie d'être reconnu et accepté par le groupe, que l'on a une capacité d'adaptation, une volonté d'intégration, c'est un message positif envoyé à son employeur. » C'est entrer dans la norme, en somme.
Les vêtements parlent, donc. Ce que l’on porte indique la personnalité, et plus largement, l’identité d’un salarié. Aujourd’hui, les lignes sont sans doute moins marquées entre la sphère privée et l’univers professionnel. Cela peut s’illustrer par une décontraction accrue dans sa tenue vestimentaire. À l’inverse, adopter tout d'un coup un style différent, peut indiquer une envie de changer de poste, de progresser. Un laisser-aller soudain peut signifier le fait d’être démotivé, un certain ras le bol, un souci, etc. « Être en dehors de la norme peut être payant ou risqué » ajoute Anne Guérand. Dans tous les cas, trouver l’équilibre ne va pas de soi. Entre l’autonomie demandée, le respect de la norme, celui des codes de l’entreprise, et de sa personnalité, il y a de quoi en perdre son latin.
Exemple : « Si l'on se démarque trop du code de l'entreprise, on peut envoyer des messages négatifs. Passer pour quelqu'un qui ne comprend pas dans quel contexte il évolue est le premier risque », explique Xavier Malartre à La Tribune. Autrement dit, respecter les codes, c’est respecter la culture de l’entreprise, avoir saisi l’environnement dans lequel on progresse. C'est déjà énorme. Et bien vu.
Même point de vue pour Anne Guérand, attachée temporaire d'enseignement et de recherche en ressources humaines, à l’IAE Lyon 3 : « Choisir de ne pas adhérer est généralement perçu comme une volonté de déconnexion du groupe mais lorsqu'on respecte le code de son entreprise, on montre son envie d'être reconnu et accepté par le groupe, que l'on a une capacité d'adaptation, une volonté d'intégration, c'est un message positif envoyé à son employeur. » C'est entrer dans la norme, en somme.
Les vêtements parlent, donc. Ce que l’on porte indique la personnalité, et plus largement, l’identité d’un salarié. Aujourd’hui, les lignes sont sans doute moins marquées entre la sphère privée et l’univers professionnel. Cela peut s’illustrer par une décontraction accrue dans sa tenue vestimentaire. À l’inverse, adopter tout d'un coup un style différent, peut indiquer une envie de changer de poste, de progresser. Un laisser-aller soudain peut signifier le fait d’être démotivé, un certain ras le bol, un souci, etc. « Être en dehors de la norme peut être payant ou risqué » ajoute Anne Guérand. Dans tous les cas, trouver l’équilibre ne va pas de soi. Entre l’autonomie demandée, le respect de la norme, celui des codes de l’entreprise, et de sa personnalité, il y a de quoi en perdre son latin.