DR Tweenswheel Franprix
Depuis le temps que l’on entend parler de l’avènement des robots dans nos rues. Franprix pourrait bien être l’artisan de la concrétisation dans ce domaine. « Dans quelques mois, les habitants du XIIIe arrondissement pourraient bien faire une immersion dans le monde futuriste de « Star Wars ». Un droïde, à l’apparence directement inspirée de BB8, le robot de la saga, va faire son apparition dans les rues de la ZAC Paris-Rive Gauche, courant 2019, pour livrer les clients d’un magasin Franprix. C’est l’une des 15 expérimentations lauréates de l’appel à projets l’Urban Lab » raconte Le Parisien-Aujourd’hui en France.
C’est l’entreprise TweenswHeel qui a conçu ce petit droide à deux roues qui est capable d’atteindre 10 km/h avec une autonomie de 30 km. Le petit véhicule est capable de transporter pour 40 litres de courses. « Dans un premier temps, il suivra un opérateur jusqu’au domicile du client puisqu’il n’a pas encore le droit de circuler seul dans les rues de la capitale. À terme, il pourra se rendre sans accompagnant au rez-de-chaussée de l’immeuble. Grâce à un système de géolocalisation, il peut se déplacer de façon autonome, même s’il reste suivi à distance. Et lorsque le robot arrivera à bon port, un texto sera envoyé au client avec des codes qui permettront d’ouvrir le coffre sécurisé dans lequel se trouvent les courses » continue le quotidien. Nous n’avons jamais été aussi près de croiser des robots sur le trottoir.
Pour autant, il reste un certain nombre de question réglementaires et sécuritaires à prendre en compte avant de voir nos rues envahies de droides autonomes. Il suffit de voir l’imbroglio qui accompagne l’invasion des trottinettes et des nouveaux moyens de locomotion pour imaginer le casse-tête qui attend les municipalités.
Mais Franprix explique que ses robots ne sont pas prévus uniquement pour les livraisons mais doivent aussi rendre des services dans les magasins. Les personnes âgées ou handicapées pourraient ainsi utiliser le robot dans les rayons après que l’appareil n’enregistre le visage de la personne en quelques secondes. « Les employés, quant à eux, bénéficieront d’un deuxième robot, plus gros, destiné au réapprovisionnement des stocks. Cet engin, qui dispose d’une capacité de chargement de 150 kg et de 20 km d’autonomie, permettra, par exemple, d’éviter de manipuler ou de transporter les énormes palettes d’eau » ajoute l’article.
C’est l’entreprise TweenswHeel qui a conçu ce petit droide à deux roues qui est capable d’atteindre 10 km/h avec une autonomie de 30 km. Le petit véhicule est capable de transporter pour 40 litres de courses. « Dans un premier temps, il suivra un opérateur jusqu’au domicile du client puisqu’il n’a pas encore le droit de circuler seul dans les rues de la capitale. À terme, il pourra se rendre sans accompagnant au rez-de-chaussée de l’immeuble. Grâce à un système de géolocalisation, il peut se déplacer de façon autonome, même s’il reste suivi à distance. Et lorsque le robot arrivera à bon port, un texto sera envoyé au client avec des codes qui permettront d’ouvrir le coffre sécurisé dans lequel se trouvent les courses » continue le quotidien. Nous n’avons jamais été aussi près de croiser des robots sur le trottoir.
Pour autant, il reste un certain nombre de question réglementaires et sécuritaires à prendre en compte avant de voir nos rues envahies de droides autonomes. Il suffit de voir l’imbroglio qui accompagne l’invasion des trottinettes et des nouveaux moyens de locomotion pour imaginer le casse-tête qui attend les municipalités.
Mais Franprix explique que ses robots ne sont pas prévus uniquement pour les livraisons mais doivent aussi rendre des services dans les magasins. Les personnes âgées ou handicapées pourraient ainsi utiliser le robot dans les rayons après que l’appareil n’enregistre le visage de la personne en quelques secondes. « Les employés, quant à eux, bénéficieront d’un deuxième robot, plus gros, destiné au réapprovisionnement des stocks. Cet engin, qui dispose d’une capacité de chargement de 150 kg et de 20 km d’autonomie, permettra, par exemple, d’éviter de manipuler ou de transporter les énormes palettes d’eau » ajoute l’article.