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Le Guide Michelin n’a pas vocation à adouber les adresses mondaines. Avec cette nouvelle édition, le prestigieux guide a montré une fois de plus sa capacité à surprendre. « Alors, Jean-François Piège, il les a ses trois étoiles ? Eh bien non. Pas plus que ses confrères Olivier Nasti, Jean Sulpice ou Jean-Georges Klein, dont les noms revenaient souvent dans la bouche des pronostiqueurs. Lundi 27 janvier, au Pavillon Gabriel, à Paris, lors de la cérémonie de lancement du guide France 2020, le Bibendum a fait des choix qui ont surpris le petit monde de la gastronomie » commence Le Monde dans un récit des cette soirée et de ses surprises .
Les trois nouveaux chefs aux trois étoiles, deux Français et un Japonais, sont d’une nouvelle génération de cuisiniers. Et les deux Français, Christophe Coutanceau et Glenn Viel se sont engagés fortement pour une gastronomie engagée dans la défense de l’environnement et des ressources. « Christopher Coutanceau, qui a travaillé avec Michel Guérard, Ferran Adria et Guy Martin, s’est fixé pour cap la défense d’une pêche durable et de l’antigaspillage. Glenn Viel, passé par le Plaza Athénée, le Meurice et le Cheval Blanc de Courchevel, a agrandi le potager du restaurant, créé un verger et implanté une ferme pédagogique. Leur conscience écologique résonne avec les efforts du guide pour témoigner de son engagement en la matière : cette année, un nouveau pictogramme récompense les acteurs de « la gastronomie durable ». En même temps, ces chefs sont porteurs de belles histoires : Coutanceau a repris l’établissement familial en 2007 ; quant à Viel, il permet à l’Oustau de Baumanière de regagner sa troisième étoile perdue en 1990 » appuie le quotidien.
Signe que le Michelin chercher à prendre le virage générationnel pour rebondir. En chute libre ces dernières années, l’institution cherche à se relancer avec une stratégie pro business et notamment un partenariat avec Trip Advisor.
Lire en intégralité le récit du journal Le Monde
Les trois nouveaux chefs aux trois étoiles, deux Français et un Japonais, sont d’une nouvelle génération de cuisiniers. Et les deux Français, Christophe Coutanceau et Glenn Viel se sont engagés fortement pour une gastronomie engagée dans la défense de l’environnement et des ressources. « Christopher Coutanceau, qui a travaillé avec Michel Guérard, Ferran Adria et Guy Martin, s’est fixé pour cap la défense d’une pêche durable et de l’antigaspillage. Glenn Viel, passé par le Plaza Athénée, le Meurice et le Cheval Blanc de Courchevel, a agrandi le potager du restaurant, créé un verger et implanté une ferme pédagogique. Leur conscience écologique résonne avec les efforts du guide pour témoigner de son engagement en la matière : cette année, un nouveau pictogramme récompense les acteurs de « la gastronomie durable ». En même temps, ces chefs sont porteurs de belles histoires : Coutanceau a repris l’établissement familial en 2007 ; quant à Viel, il permet à l’Oustau de Baumanière de regagner sa troisième étoile perdue en 1990 » appuie le quotidien.
Signe que le Michelin chercher à prendre le virage générationnel pour rebondir. En chute libre ces dernières années, l’institution cherche à se relancer avec une stratégie pro business et notamment un partenariat avec Trip Advisor.
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