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C’est le tennis qu’on aime. Un sport individuel où s’affrontent directement deux joueurs avec une place essentielle pour la force mentale. « La nouvelle odyssée parisienne de Hugo Gaston n’en finit pas : le jeune Français a fait valser la jeune pépite espagnole Carlos Alcaraz pour s’inviter en quarts de finale du Masters 1000 de Bercy dans une ambiance survoltée jeudi 4 novembre. Un peu plus d’un an après son épopée jusqu’en huitièmes de finale de Roland-Garros, voilà le gaucher toulousain, vainqueur 6-4, 7-5, pour la première fois à ce stade de la compétition en Masters 1000. Il y défiera dès vendredi le n°2 mondial et récent vainqueur de l’US Open Daniil Medvedev » résume l’AFP.
C’est un match très enthousiasmant qu’a mené le jeune Français avec un soutien rare du public. « Encore mené 5-0 dans le deuxième set quelques dizaines de minutes plus tôt, et passé à deux points de le perdre, le futur pensionnaire du top 70, arrivé 103emondial à Paris, vient alors d’aligner six jeux consécutifs – et de donner le tournis jusqu’à lui faire perdre son calme au d’habitude si posé Alcaraz – et s’apprête à servir pour le gain du match. Il l’a fait sans trembler, en concluant même sur un ace. « Je vais être franc, j’avais déjà préparé ma tenue pour le troisième set », a souri Hugo Gaston. « Mais j’ai entendu quelques “remontadas” et je me suis dit : “pourquoi pas ?” » » ajoute l’agence de presse.
L’épopée est d’autant plus satisfaisante, que cela fait des années que nos joueurs Français n’ont pas créé la surprise. Car malgré le nombre important de tricolores dans le top 50, leurs parcours dans les grandes compétitions s’étalent généralement entre le 1er tour et les huitièmes de finale. Ici, l’exception est encore venue de l’outsider Gaston.
C’est un match très enthousiasmant qu’a mené le jeune Français avec un soutien rare du public. « Encore mené 5-0 dans le deuxième set quelques dizaines de minutes plus tôt, et passé à deux points de le perdre, le futur pensionnaire du top 70, arrivé 103emondial à Paris, vient alors d’aligner six jeux consécutifs – et de donner le tournis jusqu’à lui faire perdre son calme au d’habitude si posé Alcaraz – et s’apprête à servir pour le gain du match. Il l’a fait sans trembler, en concluant même sur un ace. « Je vais être franc, j’avais déjà préparé ma tenue pour le troisième set », a souri Hugo Gaston. « Mais j’ai entendu quelques “remontadas” et je me suis dit : “pourquoi pas ?” » » ajoute l’agence de presse.
L’épopée est d’autant plus satisfaisante, que cela fait des années que nos joueurs Français n’ont pas créé la surprise. Car malgré le nombre important de tricolores dans le top 50, leurs parcours dans les grandes compétitions s’étalent généralement entre le 1er tour et les huitièmes de finale. Ici, l’exception est encore venue de l’outsider Gaston.