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Le secteur du sport se porte bien, mais Decathlon encore mieux. « La maison bleue toujours sous le soleil malgré la crise, l’inflation, les difficultés d’approvisionnements et la hausse des prix des matières premières. Avec 4,7 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2022, Decathlon progresse mieux à + 12 % que le marché pourtant toujours dynamique du sport (entre + 9 et 11 % selon les expertises) », rapporte La Voix du Nord.
Annonçant une réduction des marges et une inflation de 5,6%, donc inférieure à la moyenne de l’économie, le groupe continue à grandir et vise les 5 milliards d’euros de volumes de ventes.
« Avec du recul, Decathlon fait progresser son activité de 21 % par rapport à 2019, dernière année de référence avant la crise sanitaire et année qui suivit celle d’un « trou d’air » inédit à - 5 % en 2018, assortie d’une crise de la gouvernance au sein du groupe.
Du passé : en tenant compte de la parenthèse Covid, l’enseigne fondée en 1976 à Englos par Michel Leclercq, le cousin du fondateur d’Auchan Gérard Mulliez, sera passée de 3,3 milliards d’euros en 2019 à 4,7 milliards l’an passé. Avec, merci les confinements sanitaires, une part du commerce en ligne qui pèse dorénavant 15 % du chiffre d’affaires (+135 % depuis 2020) » analyse le quotidien régional.
« Fait nouveau, la direction nous signale en exclusivité qu’elle a décidé de faire évoluer cette année son écosytème de marques pour ses 82 sports. L’offre est désormais organisée en quatre grands domaines sportifs : outdoor et sports d’eau, sports de clubs (fédérations), fitness et mobilités douces (vélos, trottinettes...). « Il s’agit de rationnaliser le nombre d’usages sportifs en tirant avantage des mutualisations d’investissements, notamment pour notre recherche & développement », précise Bastien Grandgeorge.
Decathlon emploi 24 700 personnes dans 325 magasins en France, pays racine qui représente un quart des ventes du groupe au niveau mondial », conclue La Voix du Nord.
Annonçant une réduction des marges et une inflation de 5,6%, donc inférieure à la moyenne de l’économie, le groupe continue à grandir et vise les 5 milliards d’euros de volumes de ventes.
« Avec du recul, Decathlon fait progresser son activité de 21 % par rapport à 2019, dernière année de référence avant la crise sanitaire et année qui suivit celle d’un « trou d’air » inédit à - 5 % en 2018, assortie d’une crise de la gouvernance au sein du groupe.
Du passé : en tenant compte de la parenthèse Covid, l’enseigne fondée en 1976 à Englos par Michel Leclercq, le cousin du fondateur d’Auchan Gérard Mulliez, sera passée de 3,3 milliards d’euros en 2019 à 4,7 milliards l’an passé. Avec, merci les confinements sanitaires, une part du commerce en ligne qui pèse dorénavant 15 % du chiffre d’affaires (+135 % depuis 2020) » analyse le quotidien régional.
« Fait nouveau, la direction nous signale en exclusivité qu’elle a décidé de faire évoluer cette année son écosytème de marques pour ses 82 sports. L’offre est désormais organisée en quatre grands domaines sportifs : outdoor et sports d’eau, sports de clubs (fédérations), fitness et mobilités douces (vélos, trottinettes...). « Il s’agit de rationnaliser le nombre d’usages sportifs en tirant avantage des mutualisations d’investissements, notamment pour notre recherche & développement », précise Bastien Grandgeorge.
Decathlon emploi 24 700 personnes dans 325 magasins en France, pays racine qui représente un quart des ventes du groupe au niveau mondial », conclue La Voix du Nord.