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Les hackers sont des charognards qui cherchent dans l’actualité des victimes vulnérables. Mais à ces voyous du web, se mêlent aussi des activistes ou agents qui cherchent à déstabiliser des pays ou des intérêts rivaux. C’est ainsi que selon les procédés employés – s’ils sont crapuleux ou non – mais aussi les cibles choisies, les hypothèses peuvent être affinées.
En l’occurrence, lorsque l’Agence européenne des médicaments annonce par communiqué avoir été ciblée par une cyberattaque, plusieurs questions demeurent. « Après l'annonce du piratage par l'agence européenne, le groupe Pfizer a rapidement indiqué que des documents liés à la demande d'autorisation de son vaccin contre le Covid-19 avaient été "illégalement consultés" lors de la cyberattaque. Dans leur communiqué, les laboratoires Pfizer et BioNTech précisent qu'il s'agit de "documents liés à la soumission réglementaire du vaccin candidat". Le vaccin Pfizer/BioNTech est considéré comme l'une des principales chances de réussite dans la lutte mondiale contre la pandémie de coronavirus. Le Royaume-Uni a d'ailleurs lancé mardi une campagne de vaccination, devenant le premier pays occidental à le faire. De son côté, l’Union européenne a pour l'instant commandé jusqu’à 300 millions de doses pour le vaccin de Pfizer, et a passé six contrats au total avec différents groupes afin de pouvoir vacciner au plus vite la population des 27 Etats membres » raconte France Info.
Monnaie d’échange, déstabilisation ou renseignement sur les concurrents, les raisons qui peuvent pousser à vouloir consulter ces données peuvent être de plusieurs ordres. D’autant que ces derniers mois ont été propices aux attaques dans le secteur médical : « Des cybercriminels nord-coréens ont essayé de s'en prendre à plusieurs entreprises pharmaceutiques développant des vaccins comme Johnson & Johnson, Novavax, AstraZeneca et des laboratoires sud-coréens, selon le Wall Street Journal (en anglais). Des laboratoires espagnols ont également indiqué avoir subi des attaques venues de la Chine, selon El Pais (en anglais). IBM a révélé la semaine dernière qu'une série de cyberattaques avait ciblé la chaîne logistique des vaccins contre le coronavirus. Enfin, le Royaume-Uni avait accusé en juillet les services de renseignement russes d'être derrière des attaques visant des recherches sur un vaccin contre le coronavirus » appuie la chaine publique d’infos.
En l’occurrence, lorsque l’Agence européenne des médicaments annonce par communiqué avoir été ciblée par une cyberattaque, plusieurs questions demeurent. « Après l'annonce du piratage par l'agence européenne, le groupe Pfizer a rapidement indiqué que des documents liés à la demande d'autorisation de son vaccin contre le Covid-19 avaient été "illégalement consultés" lors de la cyberattaque. Dans leur communiqué, les laboratoires Pfizer et BioNTech précisent qu'il s'agit de "documents liés à la soumission réglementaire du vaccin candidat". Le vaccin Pfizer/BioNTech est considéré comme l'une des principales chances de réussite dans la lutte mondiale contre la pandémie de coronavirus. Le Royaume-Uni a d'ailleurs lancé mardi une campagne de vaccination, devenant le premier pays occidental à le faire. De son côté, l’Union européenne a pour l'instant commandé jusqu’à 300 millions de doses pour le vaccin de Pfizer, et a passé six contrats au total avec différents groupes afin de pouvoir vacciner au plus vite la population des 27 Etats membres » raconte France Info.
Monnaie d’échange, déstabilisation ou renseignement sur les concurrents, les raisons qui peuvent pousser à vouloir consulter ces données peuvent être de plusieurs ordres. D’autant que ces derniers mois ont été propices aux attaques dans le secteur médical : « Des cybercriminels nord-coréens ont essayé de s'en prendre à plusieurs entreprises pharmaceutiques développant des vaccins comme Johnson & Johnson, Novavax, AstraZeneca et des laboratoires sud-coréens, selon le Wall Street Journal (en anglais). Des laboratoires espagnols ont également indiqué avoir subi des attaques venues de la Chine, selon El Pais (en anglais). IBM a révélé la semaine dernière qu'une série de cyberattaques avait ciblé la chaîne logistique des vaccins contre le coronavirus. Enfin, le Royaume-Uni avait accusé en juillet les services de renseignement russes d'être derrière des attaques visant des recherches sur un vaccin contre le coronavirus » appuie la chaine publique d’infos.