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Le message est « culturel et politique » a affirmé le ministre des Affaires étrangères italien, Antonio Tajani. Il s’exprimait à l’occasion de la signature d’un accord entre l’Italie et l’Ukraine pour la reconstruction de la cathédrale de la Transfiguration à Odessa. « Rapellons que, dans la nuit du 22 au 23 juillet, une attaque de missiles russes sur la ville d'Odessa, dans le sud de l'Ukraine, a endommagé un grand nombre de sites culturels importants, parmi lesquels la Cathédrale de la Transfiguration, la première et la plus importante église orthodoxe d'Odessa, fondée en 1794. Cette attaque survient quelques jours seulement après celles qui ont déjà touché plusieurs sites du patrimoine culturel à Lviv et à Odessa, dans des zones portant protégées par la Convention du patrimoine mondial », rappelle Ukrinform, l’agence de presse publique ukrainienne.
L’édifice religieux a été partiellement détruit par une frappe russe et nécessite d’importants travaux de rénovation. Un effort financier de plus pour l’Ukraine en guerre auquel l’Italie a proposé de s’associer. Alors que destructions matérielles et patrimoniales sont encore difficile à chiffrer pour le pays, l’accord signé avec l’Italie innove. Car au lieu de se contenter de signer un chèque, il met en avant le savoir-faire du pays dans la conservation et la rénovation des bâtiments anciens et spécialement religieux. Une main tendue que le gouvernement a souligné lors de l’annonce de la signature de l’accord : « Le chef de la diplomatie italienne a précisé que les meilleurs architectes italiens travailleront afin de reconstruire la cathédrale. Il a ajouté que l'Italie souhaitait soutenir l'Ukraine et protéger le droit international. « Bien sûr, nous voulons parvenir à la paix, mais il est impossible de parvenir à la paix sans justice. La justice, c'est la liberté et l'indépendance de l'Ukraine », a souligné le chef du ministère italien des Affaires étrangères », explique l’agence de presse ukrainienne.
L’édifice religieux a été partiellement détruit par une frappe russe et nécessite d’importants travaux de rénovation. Un effort financier de plus pour l’Ukraine en guerre auquel l’Italie a proposé de s’associer. Alors que destructions matérielles et patrimoniales sont encore difficile à chiffrer pour le pays, l’accord signé avec l’Italie innove. Car au lieu de se contenter de signer un chèque, il met en avant le savoir-faire du pays dans la conservation et la rénovation des bâtiments anciens et spécialement religieux. Une main tendue que le gouvernement a souligné lors de l’annonce de la signature de l’accord : « Le chef de la diplomatie italienne a précisé que les meilleurs architectes italiens travailleront afin de reconstruire la cathédrale. Il a ajouté que l'Italie souhaitait soutenir l'Ukraine et protéger le droit international. « Bien sûr, nous voulons parvenir à la paix, mais il est impossible de parvenir à la paix sans justice. La justice, c'est la liberté et l'indépendance de l'Ukraine », a souligné le chef du ministère italien des Affaires étrangères », explique l’agence de presse ukrainienne.