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L'ONu app
Le nombre sans précédent de défis exige de l'ONU et de l'UE de travailler ensemble, a souligné le Secrétaire général, insistant sur la multiplication, le changement de nature et l'interdépendance des conflits ainsi que sur la nécessité de renverser ces tendances néfastes.
« Nous devons renforcer les capacités multilatérales pour traiter, résoudre les conflits, les prévenir et appuyer la paix. Dans ce domaine la coopération entre l'UE et l'ONU est absolument cruciale », a souligné M. Guterres.
Citant la situation Syrie, le chef de l'ONU a indiqué qu'il s'agit d'un conflit dans lequel « tout le monde perd, personne ne gagne » et qu'il était capital de faire comprendre à chaque partie impliquée que « la contradiction des intérêts en jeux est bien plus petite en comparaison au besoin absolu de mettre fin à cette absurdité » dans l'intérêt de la sécurité mondiale.
Devant les parlementaires européens, M. Guterres a reconnu la nécessité de renforcer les capacités des Nations Unies dans la résolution et la prévention des conflits ainsi que dans l'instauration d'une paix durable : « nos deux priorités les plus importantes mais nous ne pourrons jamais le faire sans le soutien et engagement forts de l'UE », a-t-il rappelé. « La contribution européenne est une part absolument essentielle pour rendre l'ONU efficace ».
Lors d'une conférence de presse conjointe avec le Président du Parlement européen, Antonio Tajani, le Secrétaire général a souligné la nécessité d'avoir une Europe unie pour soutenir la recherche de solutions globales, car aucun problème aujourd'hui ne peut être résolu sans efforts mondiaux.
« C'est pour ça que j'ai salué l'extrêmement importante contribution de l'Union européenne à la gouvernance multilatérale, son engagement dans le multilatéralisme », a dit M. Guterres devant les journalistes. « Mais aussi, j'ai fait appel à une Europe unie et forte pour mieux soutenir les Nations Unies qu'on veut aussi fortes et efficaces dans la promotion des valeurs essentielles de la Charte : la paix, la sécurité, les droits de l'homme et le développement inclusif et durable ».
Le Secrétaire général a profité de son déplacement à Strasbourg pour s'entretenir avec les dirigeants des différents groupes politiques représentés au Parlement européen.
« La coopération entre l'Union européenne et les Nations Unies est un pilier essentiel de notre ordre multilatéral et c'était pour moi une excellente opportunité de m'adresser aux députés européens, de discuter avec eux quelques-uns des défis essentiels auxquels nous faisons face », a déclaré M. Guterres.
Le chef de l'ONU a également appelé l'Europe à être un partenaire dans le rétablissement du système de protection internationale pour les réfugiés qui a été largement mis en cause ces dernières années, et pour participer d'une façon constructive à l'approbation d'un pacte sur les migrations pour que ces dernières se fassent en sécurité, de manière organisée et d'une façon légale.
Le nombre sans précédent de défis exige de l'ONU et de l'UE de travailler ensemble, a souligné le Secrétaire général, insistant sur la multiplication, le changement de nature et l'interdépendance des conflits ainsi que sur la nécessité de renverser ces tendances néfastes.
« Nous devons renforcer les capacités multilatérales pour traiter, résoudre les conflits, les prévenir et appuyer la paix. Dans ce domaine la coopération entre l'UE et l'ONU est absolument cruciale », a souligné M. Guterres.
Citant la situation Syrie, le chef de l'ONU a indiqué qu'il s'agit d'un conflit dans lequel « tout le monde perd, personne ne gagne » et qu'il était capital de faire comprendre à chaque partie impliquée que « la contradiction des intérêts en jeux est bien plus petite en comparaison au besoin absolu de mettre fin à cette absurdité » dans l'intérêt de la sécurité mondiale.
Devant les parlementaires européens, M. Guterres a reconnu la nécessité de renforcer les capacités des Nations Unies dans la résolution et la prévention des conflits ainsi que dans l'instauration d'une paix durable : « nos deux priorités les plus importantes mais nous ne pourrons jamais le faire sans le soutien et engagement forts de l'UE », a-t-il rappelé. « La contribution européenne est une part absolument essentielle pour rendre l'ONU efficace ».
Lors d'une conférence de presse conjointe avec le Président du Parlement européen, Antonio Tajani, le Secrétaire général a souligné la nécessité d'avoir une Europe unie pour soutenir la recherche de solutions globales, car aucun problème aujourd'hui ne peut être résolu sans efforts mondiaux.
« C'est pour ça que j'ai salué l'extrêmement importante contribution de l'Union européenne à la gouvernance multilatérale, son engagement dans le multilatéralisme », a dit M. Guterres devant les journalistes. « Mais aussi, j'ai fait appel à une Europe unie et forte pour mieux soutenir les Nations Unies qu'on veut aussi fortes et efficaces dans la promotion des valeurs essentielles de la Charte : la paix, la sécurité, les droits de l'homme et le développement inclusif et durable ».
Le Secrétaire général a profité de son déplacement à Strasbourg pour s'entretenir avec les dirigeants des différents groupes politiques représentés au Parlement européen.
« La coopération entre l'Union européenne et les Nations Unies est un pilier essentiel de notre ordre multilatéral et c'était pour moi une excellente opportunité de m'adresser aux députés européens, de discuter avec eux quelques-uns des défis essentiels auxquels nous faisons face », a déclaré M. Guterres.
Le chef de l'ONU a également appelé l'Europe à être un partenaire dans le rétablissement du système de protection internationale pour les réfugiés qui a été largement mis en cause ces dernières années, et pour participer d'une façon constructive à l'approbation d'un pacte sur les migrations pour que ces dernières se fassent en sécurité, de manière organisée et d'une façon légale.