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"En ce début d'année, apprenants, bénévoles, salariés et citoyens veulent faire entendre aux dirigeants qu'ils souhaitent que l'apprentissage du français ne soit pas une difficulté de plus dans le parcours de certains", explique dans un communiqué l'association Climade, qui ajoute qu'il doit "être une des pierres angulaires favorisant le vivre ensemble sur le territoire". Cette association se présente comme une association de solidarité active et de soutien politique aux migrants, aux réfugiés et aux déplacés, aux demandeurs d'asile et aux étrangers en situation irrégulière.
C'est pourquoi, Cimade a organisé dans plusieurs villes de France "des cérémonies de voeux qui inviteront apprenants, citoyens, personnalités et élus à se rencontrer et échanger sur ce sujet : des cartes de voeux réalisées en amont dans les ateliers de français seront remises aux élus; des actions de sensibilisations de différentes formes seront mises en place tout au long de ces journées (jeux participatifs, stands d'information, cours de langue inversée...)", poursuit l'association dans son communiqué.
"Parce que le français est indispensable dans la vie quotidienne de toutes et tous, fermer l'accès de l'apprentissage de cette langue à une partie des personnes habitant en France, c'est fragiliser le « vivre ensemble » sur le territoire", ajoute Cimade, qui met en exergue ses trois revendications : l'égalité pour toutes et tous d'entrer en formation; des offres de formation adaptées au profil de chacun; et enfin, la stabilité des parcours de formation.
Pour Cimade, "réformer la politique linguistique est devenu une urgence, car nous sommes convaincus que partager une même langue fait partie des enjeux majeurs du « vivre ensemble » : L'apprentissage du français permet le dialogue et la compréhension mutuelle mais aussi la lutte contre l'exclusion par la langue et le droit à chacun de s'exprimer librement ; enfin il favorise l'accès aux droits et à la citoyenneté", conclue l'organisation.
C'est pourquoi, Cimade a organisé dans plusieurs villes de France "des cérémonies de voeux qui inviteront apprenants, citoyens, personnalités et élus à se rencontrer et échanger sur ce sujet : des cartes de voeux réalisées en amont dans les ateliers de français seront remises aux élus; des actions de sensibilisations de différentes formes seront mises en place tout au long de ces journées (jeux participatifs, stands d'information, cours de langue inversée...)", poursuit l'association dans son communiqué.
"Parce que le français est indispensable dans la vie quotidienne de toutes et tous, fermer l'accès de l'apprentissage de cette langue à une partie des personnes habitant en France, c'est fragiliser le « vivre ensemble » sur le territoire", ajoute Cimade, qui met en exergue ses trois revendications : l'égalité pour toutes et tous d'entrer en formation; des offres de formation adaptées au profil de chacun; et enfin, la stabilité des parcours de formation.
Pour Cimade, "réformer la politique linguistique est devenu une urgence, car nous sommes convaincus que partager une même langue fait partie des enjeux majeurs du « vivre ensemble » : L'apprentissage du français permet le dialogue et la compréhension mutuelle mais aussi la lutte contre l'exclusion par la langue et le droit à chacun de s'exprimer librement ; enfin il favorise l'accès aux droits et à la citoyenneté", conclue l'organisation.