Croissance nulle au premier trimestre en France
Pixabay/PublicDomainPictures
Publiées vendredi 29 avril 2022, les données sur la croissance au premier trimestre 2022 pour l’Hexagone dévoilent que le PIB a tout simplement stagné. La croissance a été nulle sur les trois premiers mois de l’année, une mauvaise nouvelle pour l’économie française. La réalité a été plus dure que l’estimation, déjà amputée de moitié, d’une croissance de 0,25% sur la période attendue par la Banque de France.
Parmi les données, l’Insee révèle le paramètre qui plombe le plus la croissance française : la consommation des ménages. Elle chute à -1,3% au premier trimestre 2022 alors que les incertitudes sur le futur liées à la crise en Ukraine et à l’augmentation des prix ont plombé le moral des ménages en mars 2022 et en avril 2022. Or, l’inflation a tendance à empirer dans l’Hexagone.
Parmi les données, l’Insee révèle le paramètre qui plombe le plus la croissance française : la consommation des ménages. Elle chute à -1,3% au premier trimestre 2022 alors que les incertitudes sur le futur liées à la crise en Ukraine et à l’augmentation des prix ont plombé le moral des ménages en mars 2022 et en avril 2022. Or, l’inflation a tendance à empirer dans l’Hexagone.
L’inflation toujours plus élevée, la consommation toujours menacée
Tandis que la crise en Ukraine s’enlise et dure désormais depuis deux mois, l’inflation atteint de nouveaux records. Après le niveau inédit depuis des décennies de 4,5% d’inflation sur un an en mars 2022, l’Insee dévoile qu’en avril 2022 la situation a empiré. La hausse des prix à la consommation en France a atteint 4,8% sur un an en avril 2022.
Par rapport au mois de mars 2022, donc, la situation n’a pas évolué en mieux. Les deux paramètres qui freinent la consommation des ménages restent d’actualité et s’amplifient. Surtout qu’au niveau de l’inflation, ce sont désormais les produits alimentaires, donc les produits de première nécessité, qui coûtent de plus en plus cher avec une augmentation de 3,8% sur un an en avril 2022 contre moins de 3% en mars 2022.
Par rapport au mois de mars 2022, donc, la situation n’a pas évolué en mieux. Les deux paramètres qui freinent la consommation des ménages restent d’actualité et s’amplifient. Surtout qu’au niveau de l’inflation, ce sont désormais les produits alimentaires, donc les produits de première nécessité, qui coûtent de plus en plus cher avec une augmentation de 3,8% sur un an en avril 2022 contre moins de 3% en mars 2022.