Une déclaration fleuve pour rappeler que les deux pays sont alliés et veulent continuer à travailler au sein de l’Union européenne dont ils sont membres. « Nous, représentants des Gouvernements de la République française et du Royaume des Pays-Bas, nous sommes réunis à Amsterdam le 12 avril 2023 à l'occasion de la deuxième édition des consultations entre les Gouvernements de nos deux pays. Nous entretenons des liens historiques d'amitié, fondés sur des valeurs communes et la nécessité d'une Europe forte et unie », commence le texte sans enjeu particulier.
Même les paragraphes dédiés aux sujets de défense ne font finalement que réitérer des engagements ou alliances jamais remises en question : « Nous souhaitons contribuer à une Europe résiliente et influente sur le plan géopolitique, à travers le renforcement, l'élargissement et l'approfondissement de notre relation bilatérale. Seule une coopération pragmatique et mutuellement bénéfique peut nous permettre de promouvoir efficacement les intérêts de nos concitoyens, de défendre nos valeurs fondamentales et de faire face aux problématiques mondiales auxquelles nos pays et l'Union européenne (UE) dans son ensemble sont confrontés. »
Seuls les aspects défense et matériel pourraient se concrétiser : « Les deux pays entendent accroître leur coopération relative au matériel et à l'industrie de défense, tant sur le plan bilatéral qu'au moyen du Fonds européen de défense et de l'Agence européenne de défense. En outre, ils s'efforcent de renforcer la convergence des politiques de contrôle des exportations au sein de l'UE. Conformément aux conclusions du Conseil européen de mars 2023, ils accélèreront les livraisons à l'Ukraine. Ils travailleront ensemble à accroître les capacités de production de l'industrie de défense européenne, en sécurisant les chaînes d'approvisionnement, en favorisant des procédures de passation de marchés efficaces, en remédiant aux lacunes des capacités de production et en promouvant les investissements. Ils oeuvrent de concert pour permettre une possible adhésion des Pays-Bas au traité trilatéral relatif au contrôle des exportations en matière de défense entre la France, l'Allemagne et l'Espagne. »
Même les paragraphes dédiés aux sujets de défense ne font finalement que réitérer des engagements ou alliances jamais remises en question : « Nous souhaitons contribuer à une Europe résiliente et influente sur le plan géopolitique, à travers le renforcement, l'élargissement et l'approfondissement de notre relation bilatérale. Seule une coopération pragmatique et mutuellement bénéfique peut nous permettre de promouvoir efficacement les intérêts de nos concitoyens, de défendre nos valeurs fondamentales et de faire face aux problématiques mondiales auxquelles nos pays et l'Union européenne (UE) dans son ensemble sont confrontés. »
Seuls les aspects défense et matériel pourraient se concrétiser : « Les deux pays entendent accroître leur coopération relative au matériel et à l'industrie de défense, tant sur le plan bilatéral qu'au moyen du Fonds européen de défense et de l'Agence européenne de défense. En outre, ils s'efforcent de renforcer la convergence des politiques de contrôle des exportations au sein de l'UE. Conformément aux conclusions du Conseil européen de mars 2023, ils accélèreront les livraisons à l'Ukraine. Ils travailleront ensemble à accroître les capacités de production de l'industrie de défense européenne, en sécurisant les chaînes d'approvisionnement, en favorisant des procédures de passation de marchés efficaces, en remédiant aux lacunes des capacités de production et en promouvant les investissements. Ils oeuvrent de concert pour permettre une possible adhésion des Pays-Bas au traité trilatéral relatif au contrôle des exportations en matière de défense entre la France, l'Allemagne et l'Espagne. »