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Cinq cents films, trois cents séries et vingt-six créations originales. Voilà les arguments déployés par Disney pour le lancement de sa plateforme dédiée. « Familiale et éclectique, la sélection réserve quelques surprises, même si on retrouve bien sûr toutes les productions de la firme. Seule petite nouveauté, les 30 premières saisons des Simpsons seront disponibles dès le 24 mars. Une annonce qui s’explique par le rachat de la Fox par Disney en mars 2019. En revanche côté films, il ne faudra pas s’attendre à voir des productions très récentes puisque la chronologie des médias autorise la diffusion d’un long-métrage sur une plateforme de streaming à partir de 17 mois après sa projection en salle. Du côté des productions originales, on retrouvera La Belle et le Clochard en live-action, une série High-School Musical et The Mandalorian » rapporte Le Journal du Geek. Avec sept profils possible, des téléchargements possibles sur dix appareils en illimité et quatre visions en simultané autorisées, le groupe veut montrer qu’il a compris les particularités du secteur.
Autant d’arguments qui sont alléchants mais qui sont exactement ce que l’on pouvait craindre. Après une boulimie frénétique de rachats de poids lourds du secteur, Disney a oublié que son histoire et son prestige étaient un argument clé. Or à ce que l’on comprend des éléments qui ont été communiqués, il s’agit d’un Netflix qui s’appuie sur Disney, Pixar, Marvel, Star Wars, Fox et National Geographic. Mais avec une offre à 7 euros par mois, le groupe aurait pu marquer des points en misant par ailleurs sur les grands classiques de Disney. Les premiers Mickey, les Silly Symphonies ou les anciens Pluto ou Donald. Un bon en arrière nostalgique qui aurait en plus eu le mérite de montrer que le groupe a traversé les époques. D’autant que cette approche plus historique n’est absolument pas contradictoire avec celle des productions exclusives qui a été choisie.
Autant d’arguments qui sont alléchants mais qui sont exactement ce que l’on pouvait craindre. Après une boulimie frénétique de rachats de poids lourds du secteur, Disney a oublié que son histoire et son prestige étaient un argument clé. Or à ce que l’on comprend des éléments qui ont été communiqués, il s’agit d’un Netflix qui s’appuie sur Disney, Pixar, Marvel, Star Wars, Fox et National Geographic. Mais avec une offre à 7 euros par mois, le groupe aurait pu marquer des points en misant par ailleurs sur les grands classiques de Disney. Les premiers Mickey, les Silly Symphonies ou les anciens Pluto ou Donald. Un bon en arrière nostalgique qui aurait en plus eu le mérite de montrer que le groupe a traversé les époques. D’autant que cette approche plus historique n’est absolument pas contradictoire avec celle des productions exclusives qui a été choisie.