Cela fait deux ans que la folie cronut s’est emparée de New York. À l’origine de la pâtisserie, entre bagel new yorkais pour la forme, et combinaison savante entre croissant et donut pour la texture et le goût, il y a le pâtissier français Dominique Ansel. Il a imaginé une viennoiserie qui allie la pâte du croissant mais fourrée à la crème comme un donut. Une création imparable qui est en train de devenir à New York, ce que le croissant est à Paris. Avec une petite dose de snobisme bobo en plus, bien sûr. Et de motivation. Car, pour se procurer un cronut, il faut parfois attendre longtemps et dans le froid l'hiver.
C’est là où bien sûr, le snobisme entre en ligne de compte. Car pourquoi se geler les fesses pour un petit pain troué quand bien même il dépote et ne ressemble à rien de connu ? Innovation totale, à plus forte raison car le parfum de la crème varie régulièrement. Oui mais : le cronut reste une sucrerie calorique et très sucrée. Pour les fans ou les curieux, peu importe : l’important, même à poireauter deux heures dans le froid, est de se procurer le sésame. Et cela fait deux ans que cela dure. Si tout passe à New York, la folie du cronut perdure. Comme chez Colette à Paris - quelle diversion - le secret du cronut tient dans son marketing de la rareté instauré par son créateur, Dominique Ansel. Originaire de Beauvais dans l'Oise, il s’est offert l’American Dream.
Il créé le manque donc. Ce dernier est intelligemment organisé. Dominique Ansel réduit en effet la production quotidienne de cronuts à 350 pièces. Ce qui explique les longues files d’attente. Et pas fou, les quantités font également l’objet de rationnement : ainsi, on ne peut pas acheter plus de deux cronuts par personne. À 5 dollars, ça fait quand même cher l’hybride de croissant. Et guess what ? Le marché noir du cronut s’est développé. Parfois sur Internet, on le trouve jusqu’à 2 000 dollars pièce, soit 400 fois son prix initial. Ça, c’est le clou. Jusqu’où mènent les petits snobismes ?
C’est là où bien sûr, le snobisme entre en ligne de compte. Car pourquoi se geler les fesses pour un petit pain troué quand bien même il dépote et ne ressemble à rien de connu ? Innovation totale, à plus forte raison car le parfum de la crème varie régulièrement. Oui mais : le cronut reste une sucrerie calorique et très sucrée. Pour les fans ou les curieux, peu importe : l’important, même à poireauter deux heures dans le froid, est de se procurer le sésame. Et cela fait deux ans que cela dure. Si tout passe à New York, la folie du cronut perdure. Comme chez Colette à Paris - quelle diversion - le secret du cronut tient dans son marketing de la rareté instauré par son créateur, Dominique Ansel. Originaire de Beauvais dans l'Oise, il s’est offert l’American Dream.
Il créé le manque donc. Ce dernier est intelligemment organisé. Dominique Ansel réduit en effet la production quotidienne de cronuts à 350 pièces. Ce qui explique les longues files d’attente. Et pas fou, les quantités font également l’objet de rationnement : ainsi, on ne peut pas acheter plus de deux cronuts par personne. À 5 dollars, ça fait quand même cher l’hybride de croissant. Et guess what ? Le marché noir du cronut s’est développé. Parfois sur Internet, on le trouve jusqu’à 2 000 dollars pièce, soit 400 fois son prix initial. Ça, c’est le clou. Jusqu’où mènent les petits snobismes ?