Creative Commons - Pixabay
La frustration est grande. Alors que le lundi 21 juin était à portée de main et avec lui la levée de toutes les restrictions sanitaires, le gouvernement britannique repousse l’échéance. «
Le premier ministre a finalement écouté ses conseillers scientifiques, qui s'alarment de la rapidité de propagation de cette mutation « indienne », 60 % plus contagieuse que le variant anglais (ou Alpha). Alors que les chiffres de contamination étaient descendus très bas, ils sont remontés à plus de 7000 cas par jour. Dimanche, en marge du G7, le premier ministre a confié que la situation était « très préoccupante »et que les « niveaux d'hospitalisation augmentaient ». Il a toutefois reconnu ne pas savoir « dans quelle mesure cela allait se traduire par une surmortalité ». BoJo veut « sauver des milliers de vies » en permettant à plus de personnes d'être vaccinées avant de tout relâcher. Il s'est dit confiant sur le fait que ce report serait le dernier » explique Le Figaro.
Pour des questions de tendance, l’exécutif britannique ne veut pas relâcher la pression alors que la tendance, bien que les chiffres ne soient pas alarmants, ne vont pas dans le bon sens. « Certes, la vie quotidienne a déjà repris un cours très normal, avec les relâchements successifs opérés depuis la fin d'un long et strict confinement hivernal. Pubs, restaurants, magasins et clubs de sport sont ouverts et le port du masque dans la rue n'a jamais été obligatoire. Mais le 21 juin, les dernières mesures de « distanciation sociale » devaient être levées. Les salles de spectacle devaient pouvoir opérer à pleine capacité, les mariages et les rassemblements se tenir sans limites, les pubs assurer le service au bar et les discothèques rouvrir » continue le quotidien.
L’évolution de la situation outre-manche va être suivie de près. Car avec 41,5 millions de personnes vaccinées dont 29,8 millions avec deux doses, une évolution négative jetterait un doute important sur le retour à la normale grâce aux vaccins.
Le premier ministre a finalement écouté ses conseillers scientifiques, qui s'alarment de la rapidité de propagation de cette mutation « indienne », 60 % plus contagieuse que le variant anglais (ou Alpha). Alors que les chiffres de contamination étaient descendus très bas, ils sont remontés à plus de 7000 cas par jour. Dimanche, en marge du G7, le premier ministre a confié que la situation était « très préoccupante »et que les « niveaux d'hospitalisation augmentaient ». Il a toutefois reconnu ne pas savoir « dans quelle mesure cela allait se traduire par une surmortalité ». BoJo veut « sauver des milliers de vies » en permettant à plus de personnes d'être vaccinées avant de tout relâcher. Il s'est dit confiant sur le fait que ce report serait le dernier » explique Le Figaro.
Pour des questions de tendance, l’exécutif britannique ne veut pas relâcher la pression alors que la tendance, bien que les chiffres ne soient pas alarmants, ne vont pas dans le bon sens. « Certes, la vie quotidienne a déjà repris un cours très normal, avec les relâchements successifs opérés depuis la fin d'un long et strict confinement hivernal. Pubs, restaurants, magasins et clubs de sport sont ouverts et le port du masque dans la rue n'a jamais été obligatoire. Mais le 21 juin, les dernières mesures de « distanciation sociale » devaient être levées. Les salles de spectacle devaient pouvoir opérer à pleine capacité, les mariages et les rassemblements se tenir sans limites, les pubs assurer le service au bar et les discothèques rouvrir » continue le quotidien.
L’évolution de la situation outre-manche va être suivie de près. Car avec 41,5 millions de personnes vaccinées dont 29,8 millions avec deux doses, une évolution négative jetterait un doute important sur le retour à la normale grâce aux vaccins.