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Dans un communiqué de la Fédération Française de Rugby (FFR), Giulhem Guirado, le capitaine du XV de France explique : « Pour revenir sur nos deux dernières confrontations lors du Tournoi, il y avait eu de belles oppositions. On sait que nous avons des choses à faire valoir. Lorsque notre rugby est bien huilé, bien léché et que nous jouons tous pour l'équipe, nous pouvons être très dangereux. Pour l'instant nous sommes frustrés de nos partitions. On ne fait que des bouts de matches cohérents après quoi, on manque de constance et de régularité sur la conservation du ballon. Alors on s'applique à s'entraîner très dur pour que l'on puisse mettre notre rugby en place sur l'ensemble d'un match. Le groupe réalise d'énormes sacrifices sur le terrain, avec beaucoup d'entraînements. La donne va changer dimanche ».
Il poursuit : « Il existe des moments charnières dans des compétitions comme la Coupe du monde où c'est particulier à gérer. Les trois premières semaines, sans match, en est un. La suite de la phase de poule en est un autre. A chaque fois, j'ai essayé de faire des interventions précises et assez précieuses pour l'ensemble du groupe afin de rester focus et concentré ! Désormais, nous rentrons dans une nouvelle compétition avec le tableau final. Le groupe est focalisé sur ce match des quarts. On s'emploie alors à des semaines que nous avons l'habitude de faire. Les entraînements sont assez classiques. Il y en a 3, 4 complets où nous pouvons bien travailler, pour aller chercher dans le détail. Alors que sur la première partie du mondial, il fallait être précis, c'était condensé pour aller de suite à l'essentiel. Désormais, on a plus de temps, on a l'habitude de préparer des rencontres de phases finales. Le simple détail engendre une performance différente ».
Le capitaine de l'équipe de France affirme que ces semaines sont les meilleures de sa carrière : « Effectivement, c'est ce qui ressort le plus dans nos carrières. Les phases finales s'apparentent à quelque chose de magique. D'ailleurs par rapport à cela, j'ai pris la parole auprès de certains pour leur en faire prendre conscience. Ils en ont quasiment tous joué, même si en club c'est forcément différent. Seulement on sait tous comment préparer ces évènements. Le souci du détail est le plus important pour arriver prêt dimanche ».
Il poursuit : « Il existe des moments charnières dans des compétitions comme la Coupe du monde où c'est particulier à gérer. Les trois premières semaines, sans match, en est un. La suite de la phase de poule en est un autre. A chaque fois, j'ai essayé de faire des interventions précises et assez précieuses pour l'ensemble du groupe afin de rester focus et concentré ! Désormais, nous rentrons dans une nouvelle compétition avec le tableau final. Le groupe est focalisé sur ce match des quarts. On s'emploie alors à des semaines que nous avons l'habitude de faire. Les entraînements sont assez classiques. Il y en a 3, 4 complets où nous pouvons bien travailler, pour aller chercher dans le détail. Alors que sur la première partie du mondial, il fallait être précis, c'était condensé pour aller de suite à l'essentiel. Désormais, on a plus de temps, on a l'habitude de préparer des rencontres de phases finales. Le simple détail engendre une performance différente ».
Le capitaine de l'équipe de France affirme que ces semaines sont les meilleures de sa carrière : « Effectivement, c'est ce qui ressort le plus dans nos carrières. Les phases finales s'apparentent à quelque chose de magique. D'ailleurs par rapport à cela, j'ai pris la parole auprès de certains pour leur en faire prendre conscience. Ils en ont quasiment tous joué, même si en club c'est forcément différent. Seulement on sait tous comment préparer ces évènements. Le souci du détail est le plus important pour arriver prêt dimanche ».