Le nouveau variant XEC de la COVID-19 : ce qu'il faut savoir






16 Septembre 2024

Un nouveau variant de la COVID-19, appelé XEC, suscite l'inquiétude. Détecté pour la première fois en Allemagne en juin 2024, il s'est rapidement propagé dans 15 pays à travers trois continents, et les experts craignent qu'il devienne dominant dans les mois à venir.


Des symptômes familiers mais préoccupants

Le variant XEC présente des symptômes similaires à ceux des autres variants de la COVID-19, notamment la fièvre, la toux persistante, la perte d'odorat ou de goût et une fatigue intense. À cela s'ajoutent des symptômes comme les maux de tête, la gorge irritée et, plus rarement, des troubles gastro-intestinaux tels que des diarrhées ou des nausées.

Ces symptômes peuvent être bénins pour beaucoup, mais ils posent un risque accru pour les personnes vulnérables. Surtout alors que le froid arrive sur le continent, apportant son lot de difficultés de santé. Le variant pourrait exacerber les tensions dans les hôpitaux français, s’ajoutant aux autres épidémies annuelles d’hiver, comme les gastro-entérites ou les rhumes.

Une propagation rapide en Europe

La propagation du XEC en Europe est préoccupante. En seulement quelques mois, il a atteint plusieurs pays et pourrait, selon les experts, devenir la souche dominante cet hiver. En France et ailleurs, les autorités sanitaires encouragent le respect des gestes barrières et la vaccination pour freiner sa progression. "Le variant XEC pourrait déclencher une nouvelle vague d'infections cet hiver", prévient un expert américain.

Pour se protéger contre le variant XEC de la Covid-19, les mêmes recommandations s'appliquent : se faire vacciner, recevoir les doses de rappel, porter un masque dans les lieux fermés et éviter les rassemblements massifs. Les gestes barrières et la distanciation sociale restent les moyens les plus efficaces de prévenir la transmission. Les autorités continuent de surveiller l'évolution du XEC et rappellent l'importance de la vigilance face à ce nouveau variant de la COVID-19.

Évidemment, les personnes les plus vulnérables sont invitées à se faire vacciner, ou tout du moins à contacter leur médecin pour anticiper les épidémies hivernales.