Face à l’urgence du changement climatique, tout le monde a un rôle à jouer, les citoyens comme les entreprises. Cette situation, de nombreuses sociétés l’ont bien sûr prise en compte dans les différentes phases de leur activité, depuis la fabrication jusqu’à la commercialisation de leurs produits. Le groupe Optic 2000 a entamé cette démarche écoresponsable il y a déjà plusieurs années, que ce soit dans son atelier de fabrication de Clamart ou dans ses magasins.
Economies d’eau et d’énergie, recyclage et don à des associations
Parce que la fabrication d’une paire de lunettes nécessite beaucoup d’eau, le groupe Optic 2000 a cherché à réduire sa consommation dans son processus de fabrication de ses verres. Pour cela, l’enseigne a équipé son atelier de Clamart, mais aussi un tiers de ses magasins de meuleuses à circuit fermé pour affûter les verres. Sachant que la fabrication d’une paire de lunettes nécessite entre 20 et 30 litres d’eau, Optic 2000 a ainsi économisé 9700m3 d’eau en 2019. Les magasins de l’enseigne ont également pris l’habitude de recycler le plus possible les verres utilisés sur les lunettes présentées à la clientèle. Actuellement, plus des deux-tiers des boutiques Optic 2000 ont mis en place cette pratique, ce qui a permis de recycler 31 tonnes de verres en 2019. Toujours du côté des magasins, la moitié du réseau a déjà changé ses ampoules, occasionnant une baisse de la consommation d’énergie de 30%. Et parce que l’écologie peut aussi aller de pair avec la générosité, 749 magasins du groupe collectent les anciennes montures de leurs clients, ce qui a permis de donner une seconde vie à près de 200000 paires de lunettes en 2019 (1). Et preuve que cet engagement écologique s’inscrit dans la durée, Optic 2000 a obtenu, pour la cinquième année consécutive, le label Enseigne Responsable (2). Il était finalement assez logique que le premier réseau d’opticiens français commence l’année 2020 en lançant un partenariat avec Sea2See, une société qui conçoit et fabrique des lunettes à partir de déchets plastiques collectés en mer.
Des lunettes fabriquées à partir de déchets plastiques marins
Sea2See, c’est avant tout la belle idée d’un homme, François van den Abeele. Ce Belge installé à Barcelone depuis plusieurs années est un grand amoureux de la mer et, comme beaucoup, il se désole de voir les eaux envahies par les déchets. « Comme je navigue beaucoup, j'ai pu constater de mes propres yeux l'immense problème de la pollution plastique en mer », confirme-t-il (3). Il faut dire que les chiffres sont alarmants : on estime que chaque seconde, dans le monde, 256 kilos de plastique sont déversés dans l’océan, ce qui représente entre 6,5 et 8 millions de tonne par an. Or, ces matières non-biodégradables peuvent rester dans l’eau jusqu’à 600 ans, quand elles ne sont pas ingérées par des poissons, des tortues ou des mammifères marins. Si rien n’est fait pour y remédier, les spécialistes estiment qu’à ce rythme, il y aura plus de plastique que de poissons dans les mers et océans du globe en 2050. Des chiffres qui ont révolté François van den Abeele qui a décidé d’agir en lançant Sea2See, sa propre marque de lunettes réalisées à partir de déchets plastiques récoltés en mer. « Sachant que l’industrie de la mode est assez polluante, il m’a semblé intéressant d’utiliser des déchets marins comme matière première et de commercialiser un produit pouvant générer un sentiment d’appartenance à une communauté de consommateurs désireux de faire quelque chose pour la planète », explique l’entrepreneur pour appuyer sa démarche (4). Les déchets – sacs plastiques, bouteilles, filets de pêche… – sont collectés par des pêcheurs avec qui le fondateur de Sea2See a tenu à collaborer pour les impliquer dans sa démarche, puis triés et transformés en granules. Ces billes de plastique sont ensuite transportées par camion en Italie, où elles sont transformées en montures que François van den Abeele vend sur Internet ou via un réseau d’opticiens dans certains pays. En France, c’est donc Optic 2000 qui commercialise les lunettes Sea2See.
Optic 2000 et Sea2See, un partenariat bien vu
Le premier réseau d’opticiens de France propose donc à la vente depuis le mois de janvier dernier une collection exclusive de 16 montures Sea2See : quatre pour femmes, six pour hommes et six mixtes. Et ce n’est pas parce qu’elles sont réalisées à partir de déchets plastiques marins recyclées que ces lunettes ne sont pas stylées : rétro vintage, rectangulaires ou papillonnantes, les montures sont résolument modernes et faciles à porter. De plus, elles sont proposées dans plusieurs coloris totalement inédits (5). Avec cette collection exclusive, Optic 2000 veut vraiment offrir à ses clients la possibilité de s’équiper chez un opticien responsable, soucieux de son impact sur l’environnement, mais aussi de s’engager eux-mêmes pour la planète, avec un produit toujours élégant et accessible. C’est bien là tout le sens de la démarche de Fabien van den Abeele, que ce soit dans la création de sa société Sea2See ou avec le partenariat de sa marque avec Optic 2000 : faire en sorte que chacun agisse à son niveau et selon ses moyens pour préserver l’environnement. « Ma fierté, c’est d’avoir des milliers d’opticiens ou même des groupes, des très grands groupes, qui adhèrent à ces valeurs, se félicite-t-il. Des grands groupes comme Optic 2000 qui ont parié sur ce qu’on fait nous pour promouvoir ces valeurs de changement » (6).
Sources : https://www.observatoire-groupeoptic2000.fr/actions-sante-groupe-optic2000/initiatives-sante-groupe-optic-2000/optic-2000-et-sea2see-des-montures-issues-de-dechets-plastiques-marins/ https://www.acuite.fr/actualite/magasin/172346/optic-2000-obtient-de-nouveau-le-label-enseigne-responsable https://www.glo-be.be/index.php/fr/articles/sea2see-des-lunettes-pour-sauver-les-oceans http://plastic-lemag.com/sea2see-:-des-dechets-marins-plastique-aux-lunettes-en-plastique-recycle https://www.groupement-optic2000.com/fr/actualites/sea2see-une-collection-en-faveur-de-lenvironnement-proposee-par-optic-2000 https://www.youtube.com/watch?v=ZSHn9c3wgjg&feature=emb_logo
Economies d’eau et d’énergie, recyclage et don à des associations
Parce que la fabrication d’une paire de lunettes nécessite beaucoup d’eau, le groupe Optic 2000 a cherché à réduire sa consommation dans son processus de fabrication de ses verres. Pour cela, l’enseigne a équipé son atelier de Clamart, mais aussi un tiers de ses magasins de meuleuses à circuit fermé pour affûter les verres. Sachant que la fabrication d’une paire de lunettes nécessite entre 20 et 30 litres d’eau, Optic 2000 a ainsi économisé 9700m3 d’eau en 2019. Les magasins de l’enseigne ont également pris l’habitude de recycler le plus possible les verres utilisés sur les lunettes présentées à la clientèle. Actuellement, plus des deux-tiers des boutiques Optic 2000 ont mis en place cette pratique, ce qui a permis de recycler 31 tonnes de verres en 2019. Toujours du côté des magasins, la moitié du réseau a déjà changé ses ampoules, occasionnant une baisse de la consommation d’énergie de 30%. Et parce que l’écologie peut aussi aller de pair avec la générosité, 749 magasins du groupe collectent les anciennes montures de leurs clients, ce qui a permis de donner une seconde vie à près de 200000 paires de lunettes en 2019 (1). Et preuve que cet engagement écologique s’inscrit dans la durée, Optic 2000 a obtenu, pour la cinquième année consécutive, le label Enseigne Responsable (2). Il était finalement assez logique que le premier réseau d’opticiens français commence l’année 2020 en lançant un partenariat avec Sea2See, une société qui conçoit et fabrique des lunettes à partir de déchets plastiques collectés en mer.
Des lunettes fabriquées à partir de déchets plastiques marins
Sea2See, c’est avant tout la belle idée d’un homme, François van den Abeele. Ce Belge installé à Barcelone depuis plusieurs années est un grand amoureux de la mer et, comme beaucoup, il se désole de voir les eaux envahies par les déchets. « Comme je navigue beaucoup, j'ai pu constater de mes propres yeux l'immense problème de la pollution plastique en mer », confirme-t-il (3). Il faut dire que les chiffres sont alarmants : on estime que chaque seconde, dans le monde, 256 kilos de plastique sont déversés dans l’océan, ce qui représente entre 6,5 et 8 millions de tonne par an. Or, ces matières non-biodégradables peuvent rester dans l’eau jusqu’à 600 ans, quand elles ne sont pas ingérées par des poissons, des tortues ou des mammifères marins. Si rien n’est fait pour y remédier, les spécialistes estiment qu’à ce rythme, il y aura plus de plastique que de poissons dans les mers et océans du globe en 2050. Des chiffres qui ont révolté François van den Abeele qui a décidé d’agir en lançant Sea2See, sa propre marque de lunettes réalisées à partir de déchets plastiques récoltés en mer. « Sachant que l’industrie de la mode est assez polluante, il m’a semblé intéressant d’utiliser des déchets marins comme matière première et de commercialiser un produit pouvant générer un sentiment d’appartenance à une communauté de consommateurs désireux de faire quelque chose pour la planète », explique l’entrepreneur pour appuyer sa démarche (4). Les déchets – sacs plastiques, bouteilles, filets de pêche… – sont collectés par des pêcheurs avec qui le fondateur de Sea2See a tenu à collaborer pour les impliquer dans sa démarche, puis triés et transformés en granules. Ces billes de plastique sont ensuite transportées par camion en Italie, où elles sont transformées en montures que François van den Abeele vend sur Internet ou via un réseau d’opticiens dans certains pays. En France, c’est donc Optic 2000 qui commercialise les lunettes Sea2See.
Optic 2000 et Sea2See, un partenariat bien vu
Le premier réseau d’opticiens de France propose donc à la vente depuis le mois de janvier dernier une collection exclusive de 16 montures Sea2See : quatre pour femmes, six pour hommes et six mixtes. Et ce n’est pas parce qu’elles sont réalisées à partir de déchets plastiques marins recyclées que ces lunettes ne sont pas stylées : rétro vintage, rectangulaires ou papillonnantes, les montures sont résolument modernes et faciles à porter. De plus, elles sont proposées dans plusieurs coloris totalement inédits (5). Avec cette collection exclusive, Optic 2000 veut vraiment offrir à ses clients la possibilité de s’équiper chez un opticien responsable, soucieux de son impact sur l’environnement, mais aussi de s’engager eux-mêmes pour la planète, avec un produit toujours élégant et accessible. C’est bien là tout le sens de la démarche de Fabien van den Abeele, que ce soit dans la création de sa société Sea2See ou avec le partenariat de sa marque avec Optic 2000 : faire en sorte que chacun agisse à son niveau et selon ses moyens pour préserver l’environnement. « Ma fierté, c’est d’avoir des milliers d’opticiens ou même des groupes, des très grands groupes, qui adhèrent à ces valeurs, se félicite-t-il. Des grands groupes comme Optic 2000 qui ont parié sur ce qu’on fait nous pour promouvoir ces valeurs de changement » (6).
Sources : https://www.observatoire-groupeoptic2000.fr/actions-sante-groupe-optic2000/initiatives-sante-groupe-optic-2000/optic-2000-et-sea2see-des-montures-issues-de-dechets-plastiques-marins/ https://www.acuite.fr/actualite/magasin/172346/optic-2000-obtient-de-nouveau-le-label-enseigne-responsable https://www.glo-be.be/index.php/fr/articles/sea2see-des-lunettes-pour-sauver-les-oceans http://plastic-lemag.com/sea2see-:-des-dechets-marins-plastique-aux-lunettes-en-plastique-recycle https://www.groupement-optic2000.com/fr/actualites/sea2see-une-collection-en-faveur-de-lenvironnement-proposee-par-optic-2000 https://www.youtube.com/watch?v=ZSHn9c3wgjg&feature=emb_logo