Source : Pixabay, image libre de droits
Fabuleuse plongée dans une région méconnue du nord-ouest de l'Arabie saoudite, « AlUla, merveille d'Arabie » dévoile le fruit de plus de vingt ans de recherches, pour la première fois révélées au grand public, explique dans un communiqué l'Institut du monde arabe (IMA). Invitation à un parcours à travers les millénaires, de l'Antiquité à nos jours, au coeur d'une somptueuse oasis transportée jusqu'à l'IMA le temps d'une exposition.
Dans son communiqué, l'IMA explique que cette région d'AlUla a connu la prospérité dès l'Antiquité grâce à la fertilité de son oasis. Elle la doit également à sa position "de carrefour sur les pistes caravanières qui traversaient l'Arabie, en particulier celle de la myrrhe, de l'encens et des aromates convoyés depuis l'Arabie Heureuse."
Araméen, dadanitique, nabatéen, grec, latin, arabe : "autant de langues et d'alphabets qui se déploient pendant des siècles sur les montagnes de grès remarquables d'AlUla, et qui content des instants de vie de populations passées et présentes", poursuit l'Institut du monde arabe qui présente son exposition en retracant l'histoire de la région : alors que "la route de l'encens devient celle du pèlerinage à La Mecque : le paysage d'AlUla se transforme, des villes s'épanouissent et entrent en relation avec les célèbres empires musulmans", apprend-on.
C'est à "un voyage au pays des palmeraies, des écritures, des sanctuaires, des tombeaux rupestres et des pistes caravanières" qu'est invité le grand public à l'Institut du monde arabe en partenariat avec la Commission royale pour AlUla, "dans une région extraordinaire, habitée depuis des millénaires".
"Un jardin aux senteurs de datte, d'orange, de citron et de menthe, la sépulture d'une femme nabatéenne, les stations des pèlerins en route vers les lieux saints de l'islam et les gares ottomanes du chemin de fer du Hijâz immortalisées par Lawrence d'Arabie y sont autant de haltes pour le visiteur, avant qu'il ne se perde dans les ruelles de la vieille ville d'AlUla" : voilà comment dépeint l'IMA dans son communiqué cette région "habitée jusqu'au milieu du XXe siècle, celle-ci porte la mémoire de douze siècles d'histoire racontée par ses habitants".
Au fil de cette exposition, l'Institut du monde arabe fait résonner l'esprit de ces lieux marqués par une richesse naturelle, archéologique et humaine, en faisant découvrir les vestiges inédits de ces civilisations, étudiés par des équipes de chercheurs français et saoudiens, tout en donnant la parole à celles et ceux qui font vivre AlUla aujourd'hui et pour demain.
Dans son communiqué, l'IMA explique que cette région d'AlUla a connu la prospérité dès l'Antiquité grâce à la fertilité de son oasis. Elle la doit également à sa position "de carrefour sur les pistes caravanières qui traversaient l'Arabie, en particulier celle de la myrrhe, de l'encens et des aromates convoyés depuis l'Arabie Heureuse."
Araméen, dadanitique, nabatéen, grec, latin, arabe : "autant de langues et d'alphabets qui se déploient pendant des siècles sur les montagnes de grès remarquables d'AlUla, et qui content des instants de vie de populations passées et présentes", poursuit l'Institut du monde arabe qui présente son exposition en retracant l'histoire de la région : alors que "la route de l'encens devient celle du pèlerinage à La Mecque : le paysage d'AlUla se transforme, des villes s'épanouissent et entrent en relation avec les célèbres empires musulmans", apprend-on.
C'est à "un voyage au pays des palmeraies, des écritures, des sanctuaires, des tombeaux rupestres et des pistes caravanières" qu'est invité le grand public à l'Institut du monde arabe en partenariat avec la Commission royale pour AlUla, "dans une région extraordinaire, habitée depuis des millénaires".
"Un jardin aux senteurs de datte, d'orange, de citron et de menthe, la sépulture d'une femme nabatéenne, les stations des pèlerins en route vers les lieux saints de l'islam et les gares ottomanes du chemin de fer du Hijâz immortalisées par Lawrence d'Arabie y sont autant de haltes pour le visiteur, avant qu'il ne se perde dans les ruelles de la vieille ville d'AlUla" : voilà comment dépeint l'IMA dans son communiqué cette région "habitée jusqu'au milieu du XXe siècle, celle-ci porte la mémoire de douze siècles d'histoire racontée par ses habitants".
Au fil de cette exposition, l'Institut du monde arabe fait résonner l'esprit de ces lieux marqués par une richesse naturelle, archéologique et humaine, en faisant découvrir les vestiges inédits de ces civilisations, étudiés par des équipes de chercheurs français et saoudiens, tout en donnant la parole à celles et ceux qui font vivre AlUla aujourd'hui et pour demain.