Les données personnelles volées ont été vendues
La transaction, conclue pour un montant de 175 000 dollars (environ 166 000 euros), a eu lieu sur le darknet, et a été confirmée par le pirate lui-même, qui s’est par la même occasion permis de se moquer de l’opérateur français dans son post.
Les informations volées incluent des éléments sensibles tels que les noms, adresses, numéros de téléphone, identifiants d’abonné et coordonnées bancaires. Bien que Free assure que les mots de passe n'ont pas été compromis, l'ampleur de la fuite laisse présager des risques de fraude pour les clients touchés. Selon des spécialistes, les informations volées peuvent être exploitées pour des tentatives de phishing, des appels frauduleux et même des prélèvements bancaires non autorisés, plaçant les abonnés de Free dans une position vulnérable. Une situation qui a d’autant plus de chances de se produire que les données ont été vendues semble-t-il à des tiers.
Les informations volées incluent des éléments sensibles tels que les noms, adresses, numéros de téléphone, identifiants d’abonné et coordonnées bancaires. Bien que Free assure que les mots de passe n'ont pas été compromis, l'ampleur de la fuite laisse présager des risques de fraude pour les clients touchés. Selon des spécialistes, les informations volées peuvent être exploitées pour des tentatives de phishing, des appels frauduleux et même des prélèvements bancaires non autorisés, plaçant les abonnés de Free dans une position vulnérable. Une situation qui a d’autant plus de chances de se produire que les données ont été vendues semble-t-il à des tiers.
Free victime d’un piratage inédit
Free a rapidement pris des mesures pour contenir la crise. Dès la confirmation du piratage, l’entreprise a déposé plainte et informé les autorités compétentes, notamment la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) et l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI). Dans un mail envoyé à ses abonnés, Free a précisé que des mesures supplémentaires avaient été mises en place pour sécuriser ses systèmes.
Cette attaque soulève des questions sur la sécurité des infrastructures des grands opérateurs de télécommunications en France. Pour l'instant, les clients concernés sont encouragés à surveiller attentivement leurs relevés bancaires, à ignorer les sollicitations suspectes par email ou SMS, et à signaler toute activité anormale aux autorités compétentes.
Cette attaque soulève des questions sur la sécurité des infrastructures des grands opérateurs de télécommunications en France. Pour l'instant, les clients concernés sont encouragés à surveiller attentivement leurs relevés bancaires, à ignorer les sollicitations suspectes par email ou SMS, et à signaler toute activité anormale aux autorités compétentes.