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Le bruit d’un rassemblement, la musique ou les voix seront tout de suite louches. Ceux qui seraient tentés de faire fi des mesures de confinement pour se retrouver risquent bien de ne pas passer inaperçu. Et alors, les amendes prévues pour non-respect des règles sanitaires peuvent pleuvoir. « En plein confinement et malgré les mesures de restriction mises en place, 25 personnes se sont retrouvées dans un bar de La Rochelle, le samedi 7 novembre, pour y passer de bons moments. Prévenue, la police est intervenue et chaque participant s'est vu remettre une amende de 135 euros, pour non-respect du confinement. Cette règle est également à appliquer chez soi et il est légitime de se demander ce que l'on risque en organisant un dîner ou un apéro » écrit RTL .
A l’image d’un appel pour tapage nocturne qui serait tout de suite pris au sérieux par la police, le moindre signe d’une réunion publique, d’amis ou de famille peut entrainer un signalement. Et pour la police, le simple fait de contrôler des personnes ailleurs que chez elles suffira à adresser des amendes à tour de bras. D’autant qu’on a tendance à oublier qu’en cas de récidive, la facture grimpe très vite. La deuxième amende est à 200 euros mais une fois de plus peut donner lieu à l’établissement d’un délit passible de 3 750 euros d’amende et six mois de prison.
Pour les réunions clandestines, les participants auraient tort de croire qu’ils sont sortis d’affaires si rien ne s’est passé pendant les festivités nous apprend RTL : « Lors du couvre-feu, la question s'est posée au sein de l'exécutif de faire alourdir les sanctions pour ceux qui organisent des fêtes clandestines. Mais en cas de fête sauvage, les forces de l'ordre n'ont pas la possibilité de rentrer dans un domicile privé pour contrôler les participants. Leur seule possibilité est de les attendre dehors et de les verbaliser lorsqu'ils sortent. »
A l’image d’un appel pour tapage nocturne qui serait tout de suite pris au sérieux par la police, le moindre signe d’une réunion publique, d’amis ou de famille peut entrainer un signalement. Et pour la police, le simple fait de contrôler des personnes ailleurs que chez elles suffira à adresser des amendes à tour de bras. D’autant qu’on a tendance à oublier qu’en cas de récidive, la facture grimpe très vite. La deuxième amende est à 200 euros mais une fois de plus peut donner lieu à l’établissement d’un délit passible de 3 750 euros d’amende et six mois de prison.
Pour les réunions clandestines, les participants auraient tort de croire qu’ils sont sortis d’affaires si rien ne s’est passé pendant les festivités nous apprend RTL : « Lors du couvre-feu, la question s'est posée au sein de l'exécutif de faire alourdir les sanctions pour ceux qui organisent des fêtes clandestines. Mais en cas de fête sauvage, les forces de l'ordre n'ont pas la possibilité de rentrer dans un domicile privé pour contrôler les participants. Leur seule possibilité est de les attendre dehors et de les verbaliser lorsqu'ils sortent. »