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Une consultation nationale de la jeunesse doit être organisée à l’automne pour prendre la température de la société sur le service national universel. Par ailleurs, des discussions à l’Assemblée et une expérimentation doivent avoir lieu à ce sujet. On n’est donc pas à la veille de la mise en place de l’initiative et le débat à encore largement le temps d’être nourri. Pour autant, par son principe même il est déjà au cœur de toutes les discussions.
Il ne s’agit pas de remettre au goût du jour le service militaire mais de mettre en place une initiative qui soit plus utile que la ridicule Journée nationale de l’appel à la défense. Cette journée où des militaires viennent poser des questions idiotes et où le seul moment utile est un bref massage cardiaque sur un mannequin. « La première étape envisagée par le gouvernement, la plus périlleuse et la plus symbolique, c'est celle de ces deux semaines en hébergement collectif que devront effectuer tous les adolescents, garçons et filles, vers l'âge de 16 ans. On compte moins de filles-mères et autres jeunes gens chargés de famille à cet âge, choisi pour éviter les cas d'exemption, explique-t-on. Cette phase obligatoire de «cohésion», dont le but est d'obtenir un brassage social, pourra se dérouler indifféremment pendant les vacances scolaires de la Toussaint, de février, de Pâques, ou d'été » rapporte Le Figaro.
« Qu'y feront-ils? Ils apprendront les gestes de premiers secours, à s'orienter avec une boussole, à rendre compte d'une situation de danger par radio, ils feront aussi un peu de sport. «Tout le monde n'a pas le sens de la débrouille. On ne leur a pas transmis. Il s'agit de leur faire acquérir une forme de savoir-faire pratique. » L'encadrement de ces adolescents serait effectué par 15.000 « jeunes volontaires de 21 à 25 ans». Les élèves des écoles d'État, notamment, seraient sollicités pendant leur scolarité : l'ENA, l'ENM, Polytechnique, l'École normale supérieure » lit-on plus loin.
Pour la deuxième partie du séjour – qui peut suivre ou non la première partie - les jeunes devront développer un projet associatif : « Un engagement de plusieurs week-ends auprès de l'Ordre de Malte ou de la Croix-Rouge pourrait suffire, et même être pris en compte et valorisé dans le cadre du bac. Cet engagement s'effectuerait dans cinq domaines: la défense, l'environnement, l'aide à la personne, le tutorat scolaire et la culture. » Enfin, pour ceux qui le souhaitent il sera possible avant ses 25 ans de s’engager en plus sur une durée de trois à douze mois avec des récompenses et avantages pour les encourager comme des facilités pour passer le permis, des crédits universitaires ou des indemnisations.
Il ne s’agit pas de remettre au goût du jour le service militaire mais de mettre en place une initiative qui soit plus utile que la ridicule Journée nationale de l’appel à la défense. Cette journée où des militaires viennent poser des questions idiotes et où le seul moment utile est un bref massage cardiaque sur un mannequin. « La première étape envisagée par le gouvernement, la plus périlleuse et la plus symbolique, c'est celle de ces deux semaines en hébergement collectif que devront effectuer tous les adolescents, garçons et filles, vers l'âge de 16 ans. On compte moins de filles-mères et autres jeunes gens chargés de famille à cet âge, choisi pour éviter les cas d'exemption, explique-t-on. Cette phase obligatoire de «cohésion», dont le but est d'obtenir un brassage social, pourra se dérouler indifféremment pendant les vacances scolaires de la Toussaint, de février, de Pâques, ou d'été » rapporte Le Figaro.
« Qu'y feront-ils? Ils apprendront les gestes de premiers secours, à s'orienter avec une boussole, à rendre compte d'une situation de danger par radio, ils feront aussi un peu de sport. «Tout le monde n'a pas le sens de la débrouille. On ne leur a pas transmis. Il s'agit de leur faire acquérir une forme de savoir-faire pratique. » L'encadrement de ces adolescents serait effectué par 15.000 « jeunes volontaires de 21 à 25 ans». Les élèves des écoles d'État, notamment, seraient sollicités pendant leur scolarité : l'ENA, l'ENM, Polytechnique, l'École normale supérieure » lit-on plus loin.
Pour la deuxième partie du séjour – qui peut suivre ou non la première partie - les jeunes devront développer un projet associatif : « Un engagement de plusieurs week-ends auprès de l'Ordre de Malte ou de la Croix-Rouge pourrait suffire, et même être pris en compte et valorisé dans le cadre du bac. Cet engagement s'effectuerait dans cinq domaines: la défense, l'environnement, l'aide à la personne, le tutorat scolaire et la culture. » Enfin, pour ceux qui le souhaitent il sera possible avant ses 25 ans de s’engager en plus sur une durée de trois à douze mois avec des récompenses et avantages pour les encourager comme des facilités pour passer le permis, des crédits universitaires ou des indemnisations.