Une île artificielle aussi luxueuse que connectée
Crédit : NEOM
Bienvenue dans le futur proche de l’hyperluxe touristique... "Sindalah sera la première destination insulaire de luxe de NEOM, offrant une passerelle touristique vers la mer Rouge qui deviendra le site touristique le plus excitant et le plus exquis de la région", a expliqué le prince héritier saoudien, Mohammed bin Salman. Cette nouvelle île artificielle de luxe appelée à être construite en mer Rouge entend bien éclipser à l’avenir le faste et la démesure de Dubaï.
Que sera exactement Sindalah ? "Un autre moment important pour NEOM et une étape majeure dans la réalisation des ambitions touristiques du royaume dans le cadre de la Vision 2030", explique MBS. Cette île artificielle aussi luxueuse que connectée est censée repousser les frontières du tourisme du luxe par son côté avant-gardiste et durable.
Que sera exactement Sindalah ? "Un autre moment important pour NEOM et une étape majeure dans la réalisation des ambitions touristiques du royaume dans le cadre de la Vision 2030", explique MBS. Cette île artificielle aussi luxueuse que connectée est censée repousser les frontières du tourisme du luxe par son côté avant-gardiste et durable.
Un projet de 840.000 mètres carrés
Crédit : NEOM
Les premières images de synthèse dévoilées du projet font évidemment rêver. En sus de NEOM, ville futuriste de 26.500 kilomètres carrés censée accueillir jusqu’à neuf millions d’habitants à terme, l’archipel de luxe imaginé par les Saoudiens s’étendrait sur une superficie d'environ 840.000 mètres carrés. Il accueillera notamment un yacht-club, une vaste marina, de nombreux hôtels haut de gamme, des restaurants, sans oublier un parcours de golf spectaculaire.
Si la question de l’impact d’un tel projet sur l’environnement qu’être posée, ses initiateurs mettent à l’inverse en avant la dimension écologique du projet de l'île de Sindalah. Selon eux, il devrait permettre de définir de nouvelles normes mondiales en termes d’aménagements et d’énergie renouvelable. Il serait aussi l’occasion de créer une réserve naturelle et de préserver les récifs de corail.
Si la question de l’impact d’un tel projet sur l’environnement qu’être posée, ses initiateurs mettent à l’inverse en avant la dimension écologique du projet de l'île de Sindalah. Selon eux, il devrait permettre de définir de nouvelles normes mondiales en termes d’aménagements et d’énergie renouvelable. Il serait aussi l’occasion de créer une réserve naturelle et de préserver les récifs de corail.