ILD
Google veut réaffirmer son engagement en première ligne dans la lutte contre le téléchargement illégal et le contenu contraires aux règles de droit d’auteur. Ce véritable fléau pour la création et la rémunération des professionnels des milieux artistiques dépasse très largement le volet juridique. L’ampleur du phénomène, les difficultés à le contrôler conjuguer aux difficultés d’appliquer la loi rendent en effet impossible une solution policière ou juridique.
C’est donc dans ces conditions qu’entre en jeu les professionnels d’internet, Google en tête.
« Dans sa quête pour nettoyer les eaux troubles d’Internet, Google doit passer au crible des centaines de millions de pages web, dans le but notamment de faire respecter le droit d’auteur. Dans son dernier rapport de transparence, le géant américain de l’Internet a annoncé que plus d’un million de site web font actuellement l’objet d’une demande de suppression de contenus pour atteinte présumée aux droits d’auteur » raconte le site de la chaine LCI .
L’irréalisme de l’application des peines et amendes prévues par la loi font donc de Google l’ennemi principal des pirates. « Parmi eux, on retrouve notamment quelques grands noms de la piraterie, comme les sites web 4shared.com, mp3toys.xyz, rapidgator.net, uploaded.net ou bien encore chomikuj.pl. En effet, le moteur de recherche semble concentrer son action principalement sur les sites de piratage permettant aux internautes de consommer des contenus sans avoir à payer pour cela. Depuis mars 2011, le moteur de recherche a déjà procédé à la suppression de 2,1 milliards de liens pirates, précise le rapport » lit-on plus loin.
Plus les demandes de suppression augmentent, plus il est difficile pour le groupe californien de donner suite. Avec des algorithmes qui permettent de reconnaitre et détecter des contenus illégaux, les signalements ont explosé depuis 2015. « Toutes les demandes n’aboutissent pas, mais Google revendique néanmoins un taux de suppression de 91% » rapporte LCI. Des suppressions qui ne sont pas synonymes de disparition puisque les concepteurs de ces sites trouvent toujours un moyen pour proposer ailleurs ces mêmes contenus. Des films ou séries qui, une fois relâchés, se retrouvent très vite sur des milliers d’ordinateurs aux quatre coins du monde.
C’est donc dans ces conditions qu’entre en jeu les professionnels d’internet, Google en tête.
« Dans sa quête pour nettoyer les eaux troubles d’Internet, Google doit passer au crible des centaines de millions de pages web, dans le but notamment de faire respecter le droit d’auteur. Dans son dernier rapport de transparence, le géant américain de l’Internet a annoncé que plus d’un million de site web font actuellement l’objet d’une demande de suppression de contenus pour atteinte présumée aux droits d’auteur » raconte le site de la chaine LCI .
L’irréalisme de l’application des peines et amendes prévues par la loi font donc de Google l’ennemi principal des pirates. « Parmi eux, on retrouve notamment quelques grands noms de la piraterie, comme les sites web 4shared.com, mp3toys.xyz, rapidgator.net, uploaded.net ou bien encore chomikuj.pl. En effet, le moteur de recherche semble concentrer son action principalement sur les sites de piratage permettant aux internautes de consommer des contenus sans avoir à payer pour cela. Depuis mars 2011, le moteur de recherche a déjà procédé à la suppression de 2,1 milliards de liens pirates, précise le rapport » lit-on plus loin.
Plus les demandes de suppression augmentent, plus il est difficile pour le groupe californien de donner suite. Avec des algorithmes qui permettent de reconnaitre et détecter des contenus illégaux, les signalements ont explosé depuis 2015. « Toutes les demandes n’aboutissent pas, mais Google revendique néanmoins un taux de suppression de 91% » rapporte LCI. Des suppressions qui ne sont pas synonymes de disparition puisque les concepteurs de ces sites trouvent toujours un moyen pour proposer ailleurs ces mêmes contenus. Des films ou séries qui, une fois relâchés, se retrouvent très vite sur des milliers d’ordinateurs aux quatre coins du monde.