ILD
Le week-end dernier à Londres un bébé a été convoqué à l’ambassade des Etats-Unis pour un interrogatoire. Il est resté dix heures sur place dont deux d’interrogatoire. Une situation complètement ubuesque qui s’explique par une simple erreur de case cochée par son grand-père pour une demande de Visa. Ce dernier a en effet répondu oui pour son petit-fils à la question « Cherchez vous à vous engager ou avez-vous été engagé dans des activités terroristes, d’espionnage, de sabotage, ou de génocide ? ».
Résultat: le visa de son petit-fils a été refusé, et les autorités américaines sur le sol britannique se sont empressées d'envoyer une convocation au jeune garçon à sa maison de Poynton, au sud de Manchester afin de procéder à un «interrogatoire». «J'ai bien hésité à l'habiller tout en orange comme les prisonniers de Guantanamo mais je ne crois pas qu'ils aient un grand sens de l'humour à l'ambassade», plaisante Paul Kenyon. La mésaventure a duré environ dix heures (dont deux heures d'entretien), soit plus longtemps que le temps d'un vol entre Manchester et Orlando. «Je n'arrive pas à croire qu'ils n'ont pas compris que c'était une erreur et qu'un bébé de trois mois était incapable de nuire», a déclaré le papi de 62 ans au quotidien britannique » rapporte Le Figaro, s’appuyant sur un article du journal The Telegraph.
Alors que ces questions ridicules posées par l’administration américaine font rire les voyageurs du monde entier qui veulent se rendre sur leur territoire, c’est une nouvelle démonstration que le sujet est pris très au sérieux par les locaux. « Ils n'ont pas vu le côté comique de l'histoire. Évidemment que mon petit-fils ne s'est jamais engagé dans un génocide, ou dans un espionnage. Je dois toutefois avouer que le bébé a “saboté quelques couches”, mais je n'ai pas jugé utile de le dire à l'ambassade américaine » s’amuse le grand-père, cité par The Telegraph. Une mésaventure qui lui a tout de même couté le prix d’un billet puisque le visa n’a pas été délivré à temps.
Résultat: le visa de son petit-fils a été refusé, et les autorités américaines sur le sol britannique se sont empressées d'envoyer une convocation au jeune garçon à sa maison de Poynton, au sud de Manchester afin de procéder à un «interrogatoire». «J'ai bien hésité à l'habiller tout en orange comme les prisonniers de Guantanamo mais je ne crois pas qu'ils aient un grand sens de l'humour à l'ambassade», plaisante Paul Kenyon. La mésaventure a duré environ dix heures (dont deux heures d'entretien), soit plus longtemps que le temps d'un vol entre Manchester et Orlando. «Je n'arrive pas à croire qu'ils n'ont pas compris que c'était une erreur et qu'un bébé de trois mois était incapable de nuire», a déclaré le papi de 62 ans au quotidien britannique » rapporte Le Figaro, s’appuyant sur un article du journal The Telegraph.
Alors que ces questions ridicules posées par l’administration américaine font rire les voyageurs du monde entier qui veulent se rendre sur leur territoire, c’est une nouvelle démonstration que le sujet est pris très au sérieux par les locaux. « Ils n'ont pas vu le côté comique de l'histoire. Évidemment que mon petit-fils ne s'est jamais engagé dans un génocide, ou dans un espionnage. Je dois toutefois avouer que le bébé a “saboté quelques couches”, mais je n'ai pas jugé utile de le dire à l'ambassade américaine » s’amuse le grand-père, cité par The Telegraph. Une mésaventure qui lui a tout de même couté le prix d’un billet puisque le visa n’a pas été délivré à temps.