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Face à des industriels qui engagent un virage électrique, Tesla présente l’électrique comme son ADN. Dans un article complet de test et de commentaires de la Model 3, le magazine Challenges souligne la supériorité de la marque sur la concurrence. « En à peine plus de dix ans d'existence, Tesla a réussi à se constituer une aura enviable. Les marques de luxe japonaises Infiniti et Lexus ne peuvent qu'en rêver, elles qui, au bout de trente ans, n'arrivent toujours pas à la cheville de l'indéboulonnable triumvirat allemand formé par Audi, BMW et Mercedes-Benz. Véritable produit de la Silicon Valley, Tesla a commencé par le Roadster, dérivé d'une sportive anglaise, la Lotus Elise. Elon Musk, arrivé au capital en 2004, a pris la décision qui a mené Tesla sur la voie du mythe : imposer une finition luxueuse et un coup de crayon flatteur, à la hauteur du prix et des performances fulgurantes de son moteur électrique » écrit le magazine.
Après des années de développement de modèles de luxe, la Model 3 est la porte vers le grand public avec une entrée de gamme à 35 000 euros. « Malgré son tarif plus modéré, la Model 3, véritable Model S en réduction, affiche un réel pouvoir de séduction. Pour le constructeur californien, une voiture électrique est une voiture comme les autres. Pas question de se risquer dans le bizarre ou le farfelu, comme le font les Nissan Leaf et BMW i. Et une voiture comme les autres doit pouvoir être utilisée… comme les autres ! Pari gagné. Lors de nos essais, nous avons à chaque fois pu parcourir plus de 300 kilomètres sur autoroute et davantage en dehors sans recharger les batteries. La " petite " Model 3 ne fait pas exception. En outre, pour la première fois, un constructeur de voitures électriques propose une solution viable à ses clients pour les longs trajets, avec les " Super-chargers " » lit-on plus loin.
Une voiture chic et utile donc qui ne se prend pas au sérieux pour autant. Des programmes cachés baptisés Œufs de Pâques (« Easter Eggs ») ne servent à rien d’autre qu’à amuser les passagers. Des clins d’yeux qui font oublier les défauts et maladresses d’un modèle grand public aux finitions moins élaborées que la concurrence.
Lire en intégralité ici l’article du magazine Challenges
Après des années de développement de modèles de luxe, la Model 3 est la porte vers le grand public avec une entrée de gamme à 35 000 euros. « Malgré son tarif plus modéré, la Model 3, véritable Model S en réduction, affiche un réel pouvoir de séduction. Pour le constructeur californien, une voiture électrique est une voiture comme les autres. Pas question de se risquer dans le bizarre ou le farfelu, comme le font les Nissan Leaf et BMW i. Et une voiture comme les autres doit pouvoir être utilisée… comme les autres ! Pari gagné. Lors de nos essais, nous avons à chaque fois pu parcourir plus de 300 kilomètres sur autoroute et davantage en dehors sans recharger les batteries. La " petite " Model 3 ne fait pas exception. En outre, pour la première fois, un constructeur de voitures électriques propose une solution viable à ses clients pour les longs trajets, avec les " Super-chargers " » lit-on plus loin.
Une voiture chic et utile donc qui ne se prend pas au sérieux pour autant. Des programmes cachés baptisés Œufs de Pâques (« Easter Eggs ») ne servent à rien d’autre qu’à amuser les passagers. Des clins d’yeux qui font oublier les défauts et maladresses d’un modèle grand public aux finitions moins élaborées que la concurrence.
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