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Quand on pense constructeur américain, Tesla n’est pas un des premiers noms qui vient à l’esprit. Pourtant, le constructeur de voitures électriques est le deuxième plus gros du pays avec une valorisation boursière qui a atteint 47,35 milliards de dollars lundi. C’est mieux que Ford qui vaut deux milliards de moins et pas très loin de General Motors, estimé à 51 milliards de dollars. « Pourtant, Tesla ne commercialise pour le moment que deux modèles - Model S et Model X - et vend moins de 100.000 voitures par an, alors que Ford en écoule chaque année plus de six millions. Tesla a touché un record historique, à plus de 294 dollars, lundi en séance, après avoir dévoilé des ventes supérieures aux attentes pour le premier trimestre. Depuis son introduction en Bourse en juin 2010, sa valeur a été multipliée par près de 20 » explique Le Figaro.
Si Tesla est autant courtisé par les investisseurs, c’est parce que la marque bénéficie d’une très bonne image. Créée il y a moins de quinze ans par le milliardaire Elon Mussk, elle renvoie l’idée de futur du secteur automobile quand les constructeurs automobiles font penser au charbon et au CO2. « Pour bon nombre de spécialistes, le lancement du Model 3 devrait renforcer cet enthousiasme. Cette voiture, dont la production doit démarrer en juillet, est dotée de tous les dispositifs les plus récents, avec «un prix de départ de 35.000 dollars, ce qui est conforme au prix moyen d'une voiture neuve aux États-Unis», expliquaient récemment les spécialistes de Henderson GI. Le succès semble assuré: Tesla a déjà reçu près de 400.000 précommandes. Reste à savoir si la jeune société parviendra à suivre la cadence » poursuit le quotidien.
Tesla grimpe quand les autres périclitent ou stagnent. Malgré déconvenues technologiques ou logistiques que les observateurs mettent sur le compte du jeune âge de l’entreprise, les évolutions boursières positives reposent souvent sur des formules simples comme celle-ci : l’électrique est l’avenir et l’essence dépassée.
Si Tesla est autant courtisé par les investisseurs, c’est parce que la marque bénéficie d’une très bonne image. Créée il y a moins de quinze ans par le milliardaire Elon Mussk, elle renvoie l’idée de futur du secteur automobile quand les constructeurs automobiles font penser au charbon et au CO2. « Pour bon nombre de spécialistes, le lancement du Model 3 devrait renforcer cet enthousiasme. Cette voiture, dont la production doit démarrer en juillet, est dotée de tous les dispositifs les plus récents, avec «un prix de départ de 35.000 dollars, ce qui est conforme au prix moyen d'une voiture neuve aux États-Unis», expliquaient récemment les spécialistes de Henderson GI. Le succès semble assuré: Tesla a déjà reçu près de 400.000 précommandes. Reste à savoir si la jeune société parviendra à suivre la cadence » poursuit le quotidien.
Tesla grimpe quand les autres périclitent ou stagnent. Malgré déconvenues technologiques ou logistiques que les observateurs mettent sur le compte du jeune âge de l’entreprise, les évolutions boursières positives reposent souvent sur des formules simples comme celle-ci : l’électrique est l’avenir et l’essence dépassée.