Biden sauve Tiktok d’une vente forcée
Pixabay/travelsourced
Selon les informations dévoilées par le Wall Street Journal le 10 février 2021, ByteDance pourrait échapper à la vente forcée de son réseau social Tiktok, tout du moins à la vente de ses activités américaines. Voulue par Donad Trump à cause de problèmes de sécurité concernant les données des utilisateurs américains, que l’ex-président estimait pouvoir être consultées par le gouvernement chinois, elle aurait été mise en pause.
Il faut dire que dès son annonce, les questions techniques concernant une telle scission des activités ont été légion. Malgré des acteurs majeurs intéressés, notamment Microsoft, Oracle ou encore Walmart, la faisabilité d’une telle opération paraissait très complexe. De quoi, peut-être, faire changer d’avis la nouvelle administration de Joe Biden… qui n’oublie toutefois pas la problématique de la sécurité des données.
Il faut dire que dès son annonce, les questions techniques concernant une telle scission des activités ont été légion. Malgré des acteurs majeurs intéressés, notamment Microsoft, Oracle ou encore Walmart, la faisabilité d’une telle opération paraissait très complexe. De quoi, peut-être, faire changer d’avis la nouvelle administration de Joe Biden… qui n’oublie toutefois pas la problématique de la sécurité des données.
Vers une gestion des données par Oracle ?
Le Wall Street Journal signale que Joe Biden et son équipe restent malgré tout inquiets de la possibilité, pour le gouvernement chinois, d’avoir accès aux données personnelles des utilisateurs américains de Tiktok. De fait, la vente forcée pourrait tout simplement se transformer en une obligation de faire gérer lesdites données par une entreprise américaine, ce qui limiterait tout risque.
Une solution qui va à la fois dans le sens de ByteDance, plutôt réticente à céder ses activités américaines malgré des offres à plusieurs dizaines de milliards de dollars, et du gouvernement américain, soucieux des données des utilisateurs. Les discussions se poursuivront jusqu’à trouver un accord, mais le Wall Street Journal le confirme : il n’y a plus d’ultimatum à l’encontre de ByteDance.
Une solution qui va à la fois dans le sens de ByteDance, plutôt réticente à céder ses activités américaines malgré des offres à plusieurs dizaines de milliards de dollars, et du gouvernement américain, soucieux des données des utilisateurs. Les discussions se poursuivront jusqu’à trouver un accord, mais le Wall Street Journal le confirme : il n’y a plus d’ultimatum à l’encontre de ByteDance.