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Twitter déclare la guerre aux robots. Le réseau social est un monde à part, aux règles et codes étranges. Très utilisé par les personnalités publiques, les journalistes et les passionnés d’actu ou fans de stars, plusieurs défis se présentent pour l’entreprise. Outre les problèmes d’outrances liées aux millions de comptes anonymes, Twitter est aussi instrumentalisé pour des campagnes de déstabilisation ou de propagande.
C’est ainsi qu’à plusieurs reprises, des milliers de comptes se sont mis à défendre une position ou à attaquer en groupe. Loin d’être spontanés, ces mouvements d’opinions se sont avérés être pilotés avec l’utilisation de programmes informatiques qui envoient des messages automatiquement. Ces « bots » sont devenus un vrai problème pour Twitter qui voit ainsi son image se détériorer.
« Twitter avait ces derniers mois reconnu que les «bots» étaient très présents sur le réseau et avaient servi à propager de fausses informations et des sujets qui clivent pour semer la discorde au sein de la société américaine au moment de l'élection présidentielle de 2016 » rapporte La Tribune de Genève. Une situation qui a poussé le groupe à annoncer un durcissement des règles pour limiter le phénomène. Sur un blog officiel, l’entreprise affirme qu’il s’agit d’une « une étape importante dans le but de s'assurer que nous avons une longueur d'avance sur les activités malveillantes ciblant les débats cruciaux qui se déroulent sur Twitter, notamment les élections aux Etats-Unis et dans le monde.», écrit le groupe sur l'un de ses blogs officiels.
Une réaction qui arrive à point nommé alors que des détails sur l’envers du décor de l’élection présidentielle américaine concerne assez directement Twitter. « Le procureur spécial chargé de l'enquête russe Robert Mueller a détaillé vendredi une vaste opération de propagande - menée notamment grâce à de faux comptes activés par des «bots» - dirigée depuis la Russie pour favoriser la victoire du candidat républicain Donald Trump à la présidentielle de 2016, des accusations vigoureusement niées par Moscou » précise le journal suisse.
C’est ainsi qu’à plusieurs reprises, des milliers de comptes se sont mis à défendre une position ou à attaquer en groupe. Loin d’être spontanés, ces mouvements d’opinions se sont avérés être pilotés avec l’utilisation de programmes informatiques qui envoient des messages automatiquement. Ces « bots » sont devenus un vrai problème pour Twitter qui voit ainsi son image se détériorer.
« Twitter avait ces derniers mois reconnu que les «bots» étaient très présents sur le réseau et avaient servi à propager de fausses informations et des sujets qui clivent pour semer la discorde au sein de la société américaine au moment de l'élection présidentielle de 2016 » rapporte La Tribune de Genève. Une situation qui a poussé le groupe à annoncer un durcissement des règles pour limiter le phénomène. Sur un blog officiel, l’entreprise affirme qu’il s’agit d’une « une étape importante dans le but de s'assurer que nous avons une longueur d'avance sur les activités malveillantes ciblant les débats cruciaux qui se déroulent sur Twitter, notamment les élections aux Etats-Unis et dans le monde.», écrit le groupe sur l'un de ses blogs officiels.
Une réaction qui arrive à point nommé alors que des détails sur l’envers du décor de l’élection présidentielle américaine concerne assez directement Twitter. « Le procureur spécial chargé de l'enquête russe Robert Mueller a détaillé vendredi une vaste opération de propagande - menée notamment grâce à de faux comptes activés par des «bots» - dirigée depuis la Russie pour favoriser la victoire du candidat républicain Donald Trump à la présidentielle de 2016, des accusations vigoureusement niées par Moscou » précise le journal suisse.