Des publicités très variées visées par le gouvernement
Pixabay/PhotoMIXCompany
Le Journal du Dimanche, dans son édition du 20 septembre 2020, dévoile ce nouveau projet du gouvernement pour inciter les Français à mieux consommer : un texte visant à limiter voire interdire certaines publicités. Leur point commun : elles invitent les Français à acheter des produits qui seraient jugés mauvais pour la planète ou pour leur santé.
Ainsi, selon les informations du JDD, les produits ciblés sont très variés : il y a les fast-foods, par exemple, ce qui ne manque en effet pas de rappeler la pétition lancée par l’UFC-Que Choisir, mais pas uniquement. Les voitures thermiques trop polluantes, certains produits alimentaires dont la nature est problématique pour l’environnement (comme le Nutella, accusé de déforestation) ou encore, et c’est plus étonnant, les publicités incitant à prendre l’avion pour faire du tourisme, comme celles pour les DOM-TOM.
Ainsi, selon les informations du JDD, les produits ciblés sont très variés : il y a les fast-foods, par exemple, ce qui ne manque en effet pas de rappeler la pétition lancée par l’UFC-Que Choisir, mais pas uniquement. Les voitures thermiques trop polluantes, certains produits alimentaires dont la nature est problématique pour l’environnement (comme le Nutella, accusé de déforestation) ou encore, et c’est plus étonnant, les publicités incitant à prendre l’avion pour faire du tourisme, comme celles pour les DOM-TOM.
L’inquiétude du secteur… et des médias
Si rien n’a été décidé, le texte n’a pas été présenté en Conseil des ministres et encore moins voté, l’inquiétude chez les acteurs du secteur est réelle : la crise de la Covid-19 a entraîné une baise des investissements marketing des entreprises, et une loi visant à limiter certains produits, en particulier de grandes entreprises comme des constructeurs automobiles ou des restaurants, ne devrait guère aider le secteur à rebondir.
Du côté des médias, qui subissent aussi la baisse des investissements en publicité, c’est le même son de cloche. Surtout chez les plus petits d’entre eux qui survivent uniquement grâce à la pub.
Du côté des médias, qui subissent aussi la baisse des investissements en publicité, c’est le même son de cloche. Surtout chez les plus petits d’entre eux qui survivent uniquement grâce à la pub.