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La course au vaccin anti-covid 19 n’est pas l’alpha et l’oméga de la recherche. Car si quelques grands laboratoires se livrent une bataille titanesque pour être le premier identifié comme levier d’immunisation d’une société, d’autres équipes travaillent sur des solutions tout aussi utiles mais à plus long terme. C’est le cas de l’institut Pasteur de Lille et de son vaccins anti covid-19 par spray nasal. « La branche lilloise de l'institution travaille non pas sur un vaccin à injection, mais sur la création d'un vaccin sous forme de spray nasal. Le directeur de recherche à l'Inserm, le chercheur Camille Locht, a expliqué au micro de BFM Lille le mercredi 16 décembre 2020 qu'"au lieu d'injecter avec une aiguille dans le bras, on asperge le nez avec ce vaccin". Cette méthode n'est pas une première puisqu'un vaccin nasal contre la grippe existe déjà, même si elle demeure moins répandue. Camille Locht, qui officie également en tant que directeur au Centre d'Infection et d'immunité de Lille, a indiqué que lui et ses équipes étaient "en train de le développer aussi pour une autre maladie respiratoire, qui est la coqueluche" » a repéré L’Internaute .
Il y a de nombreux arguments qui encouragent à espérer que le vaccin par spray verra le jour. Il est annoncé comme plus facile à administrer, à conserver et moins cher. Ce qui sera crucial pour une grande partie de la planète dont les autorités médicales ne pourront pas bénéficier des premiers vaccins par injection.
En revanche il n’est pas un concurrent aux vaccins qui se déploient actuellement. Au stade de développement, le vaccin qui est considéré comme de « deuxième génération » par les chercheurs lillois, ne sera pas utilisable avant des mois et probablement pas pour 2021.
Il y a de nombreux arguments qui encouragent à espérer que le vaccin par spray verra le jour. Il est annoncé comme plus facile à administrer, à conserver et moins cher. Ce qui sera crucial pour une grande partie de la planète dont les autorités médicales ne pourront pas bénéficier des premiers vaccins par injection.
En revanche il n’est pas un concurrent aux vaccins qui se déploient actuellement. Au stade de développement, le vaccin qui est considéré comme de « deuxième génération » par les chercheurs lillois, ne sera pas utilisable avant des mois et probablement pas pour 2021.