Bob Iger revient à la tête de Disney
Après des résultats décevants et, surtout, à la suite des difficultés pour Disney+ d’être rentable, le géant américain des médias a rappelé Bob Iger. Ce dernier a dirigé Disney de 2005 à 2020, avant d’être remplacé par Bob Chapek. Bob Iger est donc à l’origine des rachats successifs qui ont fait de Disney le mastodonte qu’il est aujourd’hui : Pixar, Marvel, Star Wars ou encore la 21st Century Fox.
Le dirigeant est donc un spécialiste des fusions-acquisitions, et c’est justement ce qui intrigue. Selon le média CBR, qui cite un ancien cadre de Disney, ce ne serait toutefois pas pour agrandir l’entreprise que Bob Iger serait revenu. Au contraire, il pourrait opérer un changement radical dont la rumeur court depuis des années : le rachat de Disney par Apple.
Le dirigeant est donc un spécialiste des fusions-acquisitions, et c’est justement ce qui intrigue. Selon le média CBR, qui cite un ancien cadre de Disney, ce ne serait toutefois pas pour agrandir l’entreprise que Bob Iger serait revenu. Au contraire, il pourrait opérer un changement radical dont la rumeur court depuis des années : le rachat de Disney par Apple.
La fusion Apple-Disney aurait déjà été dans les cartons
Le personnage de Bob Iger, dans cette rumeur, est central : il a toujours été proche de Steve Jobs, fondateur d’Apple. Et, selon CBR, il aurait déclaré précédemment que si Steve Jobs n’était pas décédé en 2011, le groupe à la pomme aurait déjà acheté Mickey. Certes, depuis, Disney a fortement grandi, mais le projet pourrait renaître.
Surtout qu’en termes financiers, ce ne serait pas un problème. Malgré sa puissance, la capitalisation de Disney n’est « que » de 180 milliards de dollars, soit moins de 10% celle d’Apple (plus de 2.300 milliards). Mais l’opération, si elle se confirme ce qui est loin d’être certain, risque de se heurter à des réticences de la part des concurrents… et des autorités de régulation.
Surtout qu’en termes financiers, ce ne serait pas un problème. Malgré sa puissance, la capitalisation de Disney n’est « que » de 180 milliards de dollars, soit moins de 10% celle d’Apple (plus de 2.300 milliards). Mais l’opération, si elle se confirme ce qui est loin d’être certain, risque de se heurter à des réticences de la part des concurrents… et des autorités de régulation.