Le « leasing Macron » : une voiture électrique à 100 euros par mois ?
Si le gouvernement pousse pour que les Français s’équipent en voitures électriques, ce qui est cohérent avec la volonté de l’Union européenne d’interdire la vente de véhicules thermiques neufs dès 2035, force est de constater qu’elles coûtent cher. Le prix, déjà plus élevé que pour des thermiques, a même augmenté ces derniers mois sur fond de pénuries qui frappent l’ensemble de l’industrie.
De fait, tous les ménages français sont loin de pouvoir se permettre un tel véhicule, malgré la multiplication des modèles disponibles. Emmanuel Macron, qui en avait fait une promesse de campagne, prévoit un dispositif d’aide. Une location qui serait subventionnée par l’État et qui ne coûterait aux ménages que 100 euros par mois. Le « leasing Macron », comme il a été surnommé, en référence notamment aux « cars Macron ».
De fait, tous les ménages français sont loin de pouvoir se permettre un tel véhicule, malgré la multiplication des modèles disponibles. Emmanuel Macron, qui en avait fait une promesse de campagne, prévoit un dispositif d’aide. Une location qui serait subventionnée par l’État et qui ne coûterait aux ménages que 100 euros par mois. Le « leasing Macron », comme il a été surnommé, en référence notamment aux « cars Macron ».
Disponible dès 2023 avec un budget limité ?
Oublié face aux autres annonces du gouvernement concernant les aides aux ménages, le « leasing Macron » serait malgré tout toujours dans les cartons du gouvernement. Ce dernier prévoirait, selon les informations de BFMTV, de l’intégrer au budget 2023 avec une enveloppe initiale de 50 millions d’euros. De quoi permettre de financer environ 100.000 véhicules, sur la base des offres de leasing actuelles pour des citadines.
Mais ce ne serait qu’une première mouture : le budget pourrait être augmenté par la suite, si le succès est au rendez-vous et la demande conséquente. Car il reste la question des possibles bénéficiaires : le dispositif s’adresse, sans surprise, aux ménages les moins aisés. Mais les conditions ne sont pas encore connues.
Mais ce ne serait qu’une première mouture : le budget pourrait être augmenté par la suite, si le succès est au rendez-vous et la demande conséquente. Car il reste la question des possibles bénéficiaires : le dispositif s’adresse, sans surprise, aux ménages les moins aisés. Mais les conditions ne sont pas encore connues.