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Ces derniers mois les révélations sur les conditions d’obtention et d’exploitation de ressources par des entreprises liées à Wagner. Des accords qui ne bénéficient pas au développement des pays. Dans un communiqué officiel, le Département d’État des États-Unis a souligné son inquiétude quant à la multiplication des associations de ce type entre les États d’Afrique sub saharienne et des entités proches de la société militaire privée.
L’institution étatsunienne en charge des Affaires étrangères s’appuie sur un avis publié conjointement avec plusieurs institutions de Washington. « Cet avis souligne les opportunités et les risques spécifiques liés au commerce de l'or en Afrique subsaharienne et encourage les acteurs du secteur à adopter et à mettre en oeuvre des pratiques renforcées de diligence raisonnable afin de s'assurer que les acteurs malveillants, tels que le groupe Wagner, ne soient pas en mesure d'exploiter et de tirer profit de ce secteur qui reste essentiel à la subsistance de millions de personnes sur le continent », affirme le communiqué.
Alors qu’un quart de la production d’or a lieu en Afrique, le Département d’Etat encourage les acteurs américains à mettre en place des offres d’investissements qui bénéficient plus aux sociétés des pays : « En l'absence d'une diligence raisonnable et de mesures d'atténuation appropriées, un acteur du secteur peut involontairement contribuer à un ou plusieurs de ces risques, notamment le financement des conflits et du terrorisme, le blanchiment d'argent, la corruption, le contournement des sanctions, les violations des droits de la personne et des droits du travail, et la dégradation de l'environnement. Les États-Unis partagent les mêmes intérêts et objectifs que les producteurs d'or de toute l'Afrique subsaharienne en ce qui concerne le développement d'un secteur aurifère responsable et durable sans acteurs prédateurs et malveillants. Le présent avis constitue un outil supplémentaire sur la voie de ces objectifs ».
L’institution étatsunienne en charge des Affaires étrangères s’appuie sur un avis publié conjointement avec plusieurs institutions de Washington. « Cet avis souligne les opportunités et les risques spécifiques liés au commerce de l'or en Afrique subsaharienne et encourage les acteurs du secteur à adopter et à mettre en oeuvre des pratiques renforcées de diligence raisonnable afin de s'assurer que les acteurs malveillants, tels que le groupe Wagner, ne soient pas en mesure d'exploiter et de tirer profit de ce secteur qui reste essentiel à la subsistance de millions de personnes sur le continent », affirme le communiqué.
Alors qu’un quart de la production d’or a lieu en Afrique, le Département d’Etat encourage les acteurs américains à mettre en place des offres d’investissements qui bénéficient plus aux sociétés des pays : « En l'absence d'une diligence raisonnable et de mesures d'atténuation appropriées, un acteur du secteur peut involontairement contribuer à un ou plusieurs de ces risques, notamment le financement des conflits et du terrorisme, le blanchiment d'argent, la corruption, le contournement des sanctions, les violations des droits de la personne et des droits du travail, et la dégradation de l'environnement. Les États-Unis partagent les mêmes intérêts et objectifs que les producteurs d'or de toute l'Afrique subsaharienne en ce qui concerne le développement d'un secteur aurifère responsable et durable sans acteurs prédateurs et malveillants. Le présent avis constitue un outil supplémentaire sur la voie de ces objectifs ».